" elles constituent le support d’une ligne éditoriale adaptable en fonction des réseaux sur lesquels elle s’exprime. Car chaque média social a son fonctionnement, ses pratiques et son rythme auxquels il a fallu se plier. Sur le plan du rythme de publication, l’alimentation de chaque compte suit une fréquence définie : si la page Facebook de Gallica publie un à deux posts par jour, le fil Twitter peut diffuser une vingtaine de tweets quotidiens, tandis que le compte Pinterest est alimenté cinq à six fois par mois. Sur le plan du type de publication, là aussi, Gallica s’adapte à la nature du réseau social sur lequel elle s’exprime : sur Facebook et Pinterest, dont les interfaces sont particulièrement adaptées au partage d’images, les contenus iconographiques (photographies, estampes, affiches, cartes et plans, manuscrits enluminés, etc.) sont privilégiés, tandis que sur Twitter la variété des types de documents mis en avant est plus large. Sur le plan du ton adopté pour communiquer avec les internautes, les publications de Gallica prennent également en compte les us et coutumes propres à chaque réseau : sur Facebook, l’aspect ludique et la proximité avec les Gallicanautes sont privilégiés, alors que sur Twitter, la fantaisie et l’humour – parfois un brin provocateur – ont davantage droit de cité.
Quatre axes majeurs ont été définis pour structurer cette ligne éditoriale : la mise en avant des contenus de Gallica, le signalement des services et fonctionnalités offerts par l’interface de Gallica, l’interaction avec les usagers et la valorisation des réutilisations de contenus de Gallica par les internautes."
"Babelio a interrogé plus de 450 internautes grands lecteurs et usagers des bibliothèques publiques pour tenter de comprendre leurs attentes relatives à la médiation numérique en bibliothèque. "
"on peut dire que les bibliothèques ont complètement raté le train des réseaux sociaux littéraires.
" Ce rapport rend compte d'une étude menée en partenariat avec la BnF et le département SES de Telecom ParisTech. Il est composé de deux axes : un état de l'art des nouveaux enjeux scientifiques et organisationnels de l'analyse des usages en ligne face aux profondes transformations des services et des pratiques numériques ; une enquête qualitative sur la manière dont les publics et les usages de Gallica sont envisagés et questionnés au sein de la BnF. Il s'achève sur une série de recommandations d'ordre général quant aux types de problématiques et d'études que la BnF pourrait développer dans les prochaines années."
"La Cour de Justice a rappelé que cela ne constituait pas une infraction au copyright ou au droit d'auteur, d'après la directive de l'Union européenne sur le copyright, et que le site attaqué ne pouvait donc pas être condamné pour l'intégration de la vidéo, rapporte TorrentFreak.
Si le cas est particulier, il fait jurisprudence : les sites de partage illégal en streaming semblent donc hors de danger : « L'intégration sur un site d'un contenu protégé qui est communiqué sur un autre site, par le biais d'un lien qui utilise une technologie d'intégration ne constitue pas en lui-même une communication au public d'après le sens de la directive européenne, dans la mesure où le contenu en question n'est pas communiqué à un nouveau public, ou n'utilise pas un moyen technique différent de la communication originale », explique la décision de la CJUE."