Ralph Schroeder's List: NPG concepts

•      l'organisation de formations, séminaires et activités dans les domaines de l'éducation, de la communication, de la connaissance de l'enfant et du développement des personnes, pour les professionnels de l'enfance et de l'adolescence, pour les acteurs associatifs et pour les parents.
• l'organisation d'activités de recherche et de réflexion fondées entre autres sur un dialogue entre les formateurs, les institutions éducatives, les éducateurs, les acteurs associatifs, les familles
• a diffusion de connaissances en matière de psychologie et de pédagogie
• outenir et aider les parents, les professionnels de l'éducation, les groupes et les institutions éducatives, ainsi que toute personne concernée par l'éducation des enfants et des jeunes pour qu'ils puissent assumer au mieux leur fonction éducative.
• Susciter une réflexion globale sur l'éducation et la formation des enfants et des adolescents lors de colloques, conférences, ateliers ou recherches, en collaboration avec des parents, des institutions publiques ou privées, différents partenaires et organismes internationaux.
• Favoriser le développement de la personne dans le respect de ses opinions en vue d'encourager une citoyenneté responsable de chacun.
• Diffuser les connaissances actuelles en matière d'éducation (psychologie, pédagogie, communication, gestion de groupes, gestion de conflits, développement personnel...)

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• Pour comprendre et accompagner l'enfance et l'adolescence
    dans des thématiques sensibles
• Réussir à l'école par la méthode de travail
• Apprendre en tenant compte des intelligences de l'enfant
• Accompagner les parents de familles monoparentales, recomposées... Soutenir la co-parentalité
• Prévention des phénomènes de bouc émissaire
• Faire une remarque délicate
• Pour développer les ressources de la personne
• Estime de soi
• Concilier vie professionnelle et vie privée
• Pour acquérir et renforcer les compétences    

    en matière d'animation, de gestion de projet et d'équipe 
• Gérer des comportements difficiles au cours d'une animation d'adultes
• Sensibilisation aux techniques du jeu de rôle
• Accompagnement, éducation, formation : quelle éthique ?
• Pour stimuler les connaissances et compétences en communication
• Communication Efficace - Méthode Thomas Gordon
• Communication Efficace : bases de la méthode
• Communication Efficace : expérimentation de la méthode
• Sensibilisation à la Communication NonViolente
• Sensibilisation à la Communication NonViolente
• La CNV et changement social au coeur des institutions
• Evaluation du personnel, du fonctionnement des équipes et du projet

     

      Gérer une équipe

     

      Conduire et animer efficacement une réunion

     

      Formation à la réalisation de projets (actions collectives)

     

      Accompagner les professionnels de l'éducation autour de la sexualité
• Formations à la demande d'associations, d'organisations, d'écoles...
• Souvent accessibles à un large public, les formations de l'EPE sont particulièrement destinées aux parents, aux acteurs associatifs et aux professionnels de l'éducation (enseignants, travailleurs médico-sociaux, puéricultrices, gardiennes à domicile, accueillantes extrascolaires, éducateurs, travailleurs sociaux...)

    

    Les formations ONE sont réservées aux professionnels de l'enfance (petite enfance 0-3 ans et accueil extrascolaire 3-12 ans).

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• conseiller, orienter et accompagner avec suivi dans la résolution de litiges/conflits sociaux, familiaux

• Le rôle du psychologue est d'abord de savoir analyser les situations, repérer les troubles et pathologies, conseiller une orientation thérapeutique. Il peut utiliser des tests, des entretiens, etc.

   

  Un psychologue peut également ajouter à ses compétences un savoir-faire thérapeutique, par exemple en suivant une psychanalyse ou une formation à une technique de psychothérapie. Il pourra alors intervenir directement comme thérapeute.

• Doué d'une grande écoute, le psychologue pourra être amené une fois cerné le trouble existant à :

   
   
  • ouvrir un dialogue avec le patient :  observation, écoute... ;
• assurer un suivi sur une période donnée...

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• Retrouver confiance en soi, sortir d'un conflit, surmonter une séparation, un stress, trouver une nouvelle orientation, réussir un projet personnel ou professionnel...

   

  Par la stimulation des ressources inconscientes et d'une meilleure communication à soi et aux autres, la PNL humaniste s'interesse davantage au comment faire pour aller mieux, parvenir à ce que je souhaite, qu'au  pourquoi je vais mal
• amène à stimuler vos ressources pour trouver en vous-même les solutions

• Découvrant des moyens concrets à l'amélioration du plaisir de vivre
   
   Effectuant des changements au niveau des comportements, des stratégies 
   cognitives, des mécanismes de défenses, des croyances et des valeurs.

• La psychothérapie est une démarche qui vise par une approche psychologique, le traitement de symptômes et le développement personnel.

• La psychothérapie est une démarche qui vise, par une approche psychologique, le traitement des symptômes et le développement personnel. La version analytique a en commun avec la psychanalyse la référence à l'inconscient psychique et la prise en compte de ses manifestations. En revanche, elle s'en différencie sur d'autres points, à commencer par le face à face, qui définit une nouvelle relation patient thérapeute non plus dans la neutralité, mais la bienveillance. Le transfert peut avoir lieu, mais il ne fait plus l'objet d'une interprétation systématique. Un dispositif de paroles est créé par le thérapeute permettant aux affects douloureux, aux conflits ou aux fantasmes de trouver une modalité d'expression. C'est la verbalisation qui en elle-même est thérapeutique, le travail qu'elle sous-tend et enfin l'interprétation éventuelle du thérapeute.

• Déroulement d'une séance

    

  La psychothérapie d'inspiration analytique change de cadre, elle quitte le divan pour un entretien verbal en face à face. L'attitude du thérapeute est cette fois-ci visible, ce dernier renvoie une image d'ordre parentale de nature sécurisante et structurante, il pose des questions, écoute aussi. Pour cheminer dans cet exploration de lui-même, le patient parle, verbalise ses doutes, ses questionnements, évoque ses rêves et ses lapsus, librement. A l'identique de la psychanalyse dont il reprend les concepts, le travail du thérapeute porte sur l'inconscient, les structures du passé et l'interprétation du matériel verbal proposé par le patient. Les interprétations et l'image renvoyées par le psychothérapeute sont les outils fondamentaux de la pratique durant la séance.

• De manière plus générale, le champs analytique peut apporter des réponses, et ouvrir des perspectives nouvelles en cas de souffrance intérieure, de sensations d'enfermement, et de mal-être diffus. Sans être une solution à toutes les difficultés, la thérapie d'inspiration analytique permet de progresser dans l'exploration de sa psyché et la connaissance de soi. De la famille des thérapies de durée moyenne, cette pratique est également indiquée en cas de conflits psychiques ponctuels ou de difficultés relationnelles chroniques (conjugales ou professionnelles).

• Le praticien travaille doucement avec le patient, le guidant progressivement pour rendre à nouveau visite à l’incident traumatique. Quand le souvenir est évoqué, les patients refont alors l’expérience des sensations et des émotions d’une nouvelle façon. La thérapie EMDR permet d’acquérir la compréhension de soi et la perspective qui permettront au patient de choisir ses actions, plutôt que de se sentir impuissant face à leurs réactions. Ce processus peut être complexe s’il y a beaucoup d’expériences reliées aux émotions négatives. Les séances de thérapie EMDR continuent jusqu’à ce que les souvenirs et les émotions traumatiques aient disparu.

• L’EFT, Emotional Freedom Techniques - en français Techniques de Libération Émotionnelle
• peut aider à traiter n’importe quelle émotion négative et peut être employée également avec les enfants, dès le plus jeune âge.
• C’est une méthode naturelle, sans contre-indications connues à ce jour, rapide, efficace et durable.
• L’EFT permet de surmonter les habitudes néfastes, tous les types de phobies et même les traumas sévères, parfois seulement en quelques minutes.
• L'EFT ne fait jamais revivre le traumatisme. Le savent et l’appliquent tous les praticiens EFT consciencieux et correctement formés à la technique.

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• Après des événements douloureux, lorsque l’on rencontre des difficultés personnelles, faire la démarche d’aller voir un psy est déjà une étape difficile à franchir. Alors à l’heure du premier rendez-vous, l’appréhension monte. Comment bien aborder un premier entretien avec le thérapeute ? Comment se déroule une séance
• Pourquoi consulter un psy ?

   

  Si l’on manque de confiance, que l’on se sent déprimée ou que l’on est tracassée par de petits ennuis, le quotidien devient de plus en plus difficile à gérer. Il est important de se décider à consulter pour savoir où l'on en est et commencer à aller mieux.
• Le thérapeute peut nous être recommandé par un médecin, par le bouche à oreille, la famille, des amis...
• Avant le premier entretien avec le psy

   

  Une petite préparation psychologique et mentale s’impose pour pouvoir établir un climat de dialogue ouvert et sincère. Au départ, la communication est difficile car la méfiance est souvent de mise, et les questions personnelles et intimes sont parfois douloureuses à aborder. Il faut en être conscient et essayer de se lancer, n’oublions pas que les psys sont tenus au secret médical.
• Le premier entretien avec le psy

   

  En général, lors du premier rendez-vous, le patient explique les raisons de sa présence, ses motivations et le thérapeute va s’intéresser à sa personnalité et à l’environnement dans lequel il évolue. L’entretien prend en compte le passé et plus particulièrement l’enfance. L’échange verbal est plus ou moins développé selon le psy. A la fin de la séance s’ensuit une réflexion sur ce qui a été dit.
• sont plutôt enclins au dialogue et proposent dans certains cas précis des tests : d’orientation, de réactions (pour les thérapies comportementales et cognitives)... Les psychanalystes, quant à eux, laissent libre cours à vos pensées et n’interviennent quasiment pas au cours de la séance pour le bon déroulement de l’analyse.
   Consulter un psy est un véritable investissement personnel qui demande une grande implication au patient. Aussi, le lien établi entre le patient et le thérapeute doit être basé sur une relation de confiance et de coopération, sans quoi aucun progrès ne pourra être effectué.
   Pendant la séance n’hésitez pas à poser des questions sur le "fonctionnement" de la thérapie, sa durée, les rendez-vous, ce qu’elle suppose, les tarifs... pour éviter tout malentendu
• Et après ?

   

  Le travail réalisé se poursuit chez soi, via des mises en situation ou des défis parfois demandés par le psy. S’impliquer dans un processus de changement demande des efforts personnels et du courage. Oubliez la magie, aucun objectif ne peut-être atteint après 2 ou 3 séances (ou alors très rarement). C’est un travail de longue haleine qui demande de la persévérance, mais qui peut se révéler très libérateur.

   

  Après les premières séances, il n’est pas inutile de se poser des questions sur l’entretien, le contact que l’on a avec le psy, si l’on se sent bien... Car la bonne qualité de la relation avec le thérapeute est une condition sine qua non pour le bon déroulement de la thérapie. Si vous n’êtes pas à l’aise, parlez-en à votre psy, et si besoin tournez-vous vers un autre professionnel.

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• La méthode de Rogers s’emploie en pédagogie et dans la formation à la communication. Elle correspond aux besoins de l’homme moderne.

   

  Rogers est un thérapeute et un animateur qui cherche à libérer ses patients de leur masque social, il les aide à être eux-mêmes, à perdre leur culpabilité. Il est opposé à Freud sur le Ça (antisocial et destructeur pour Freud), Rogers s’adapte à la crise, aide l’individu à accepter la séparation, essaye de le rendre autonome mais l’aide en même temps à communiquer avec autrui (rogerisme).
• C’est un anti-dogmatique et un individualiste. Sa thérapie est fondée sur le respect de l’autonomie de la personne. Pas de préoccupation pour le jugement ou l’approbation des autres.
• Il n’aime pas tout ce qui est dogmatique et absolu. Pas d’imposition d’un système de pensée, pas de vérité absolue. Il veut que les autres pensent par eux-mêmes sans adopter les idées d’autrui. Il est contre tout statut d’autorité à cause de sa position. Relation d’égalité entre thérapeute et patient et de confiance mutuelle. Il établit une relation égalitaire avec le patient ou les participants. Il s’agit d’aider l’autre à vivre en accord avec son Moi autonome. Pas de modèle, ni de comparaison à l’autre. Ne plus chercher à donner à l’autre l’image qu’il attend de nous.
• Croyance en la positivité du développement humain. Rogers pense que le Moi profond est positif. Il pense qu’il y a un Moi plus profond encore que le Moi freudien.

   

  Les sentiments les plus refoulés sont, pour lui, les sentiments positifs d’amour, de bonté et de confiance. Vulnérabilité de celui qui dit qu’il aime (peur de rejet donc refoulement).

   

  Pour Rogers, tous les hommes ont une orientation positive. Besoin de l’autre et donc tendance à la sympathie et à l’amour de l’autre.

   

  L’Homme qui ne peut être créateur devient destructeur. L’Homme doit s’épanouir avec les autres et dans ce qu’il fait.

   

  L’individu se défend contre ses tendances positives. La thérapie doit permettre à l’individu d’être moins défensif et plus spontané.

   

  Son but est de donner confiance à l’individu dans ses ressources pour une relation plus saine avec l’autre. Il pensait que la vie sociale est possible après un épanouissement individuel. Etre soi-même est le meilleur moyen pour communiquer. Le Moi profond est d’essence sociale, c’est l’éducation (le Moi superficiel) qui empêche le Moi profond de s’exprimer.

   

  Saisir l’individu tel qu’il est ici et maintenant sans le classer dans une catégorie abstraite. Appréhender la personne en tant qu’être humain.
• Le Moi profond est en évolution constante. Ce qui est inné c’est “the growth ” c’est à dire le désir de se développer, d’évoluer, de croître. Tous les humains ont ce besoin en eux.

   

   

  “ L’Homme peut être défini comme un être à la recherche de son développement optimum ” (Erich Fromm).

   

   

  Conception moniste de l’Homme chez Rogers, alors que la conception de Freud est dualiste. Rogers ne voit l’Homme ni comme une machine, ni comme un être soumis fatalement à des pulsions mauvaises.

   

   

  “ Chacun a en soi les capacités pour organiser sa personnalité ” (Carl Rogers).

   

   

  L’individu possède la capacité de prendre conscience des aliénations culturelles.

   

  Rogers fait l’hypothèse que l’Homme a des caractéristiques universelles, inscrites dans l’organisme. Le conflit provient de la contradiction entre les exigences de l’extérieur et les besoins de l’individu. Savoir écouter, saisir ses sentiments et ses besoins profonds.

   

  Refuser d’être ce qu’on n’est pas ou d’être plus ou moins ce qu’on est.
• Remarque : L’authenticité est différente de la spontanéité, c’est être en accord avec ce qu’on est vraiment. Etre “congruant ” dans ses relations interpersonnelles c’est à dire être en relation avec son expérience. Prendre conscience de son expérience, accepter de se voir tel que l’on est réellement.

   

   

  La compréhension emphatique

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