Pierre V. Laurent's List: paradigme ecologique

• Une politique favorisant la résilience des territoires devrait donc encourager une démotorisation partielle, en privilégiant : un aménagement du territoire et des choix de localisation qui réduisent les distances ; le vélo, le covoiturage, les véhicules légers et électriques pour les trajets quotidiens ; le train et les transports en commun routiers, au moins pour les plus longs trajets ; l’autopartage en complément pour les trajets plus exceptionnels.
• a loi d’orientation des mobilités (LOM) en préparation vise justement à confier davantage de responsabilités aux régions et aux intercommunalités sur ces sujets

• « principe responsabilité » mis en avant par l’allemand Hans Jonas (1979)
• rapport du club de Rome sur les limites de la croissance (1972)
• Le niveau de conscience verte, au sein de l’Europe, n’est pas le même.
• L’Université de Yale calcule, de la sorte, un indice de performance environnementale (IPE), pour 180 pays, classés en fonction de 24 critères environnementaux : qualité de l'air et des eaux, préservation des ressources naturelles animales, végétales et minérales, préservation de la biodiversité, etc.
• Dominique Bourg, Augustin Fragnière, La Pensée écologique. Une anthologie, Paris, PUF, 2014.

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• Cibler les fournisseurs et non les consommateurs
• déplacer la focale de l’action publique des consommateurs d’énergie vers les fournisseurs de solutions de rénovation énergétique avec un double objectif : réduire les prix et améliorer la qualité de la rénovation

• la religion musulmane est voilée à l’extérieur, comme une femme voilée

• La croissance n’est rien d’autre que l’augmentation du PIB, c’est-à-dire la production de biens et services, d’une année sur l’autre
• ous vivons dans un monde de surabondance, on fabrique 100 milliards de vêtements par an¹, on produit de quoi nourrir 11 milliards d’individus, alors que nous sommes 7,5 milliards, avec près de 800 millions de personnes sous le seuil de pauvreté, souffrant de la faim et n’ayant pas accès aux biens de nécessité essentiels
• Beaucoup de pays riches, notamment les États-Unis, le Japon et l’Australie, pourraient diminuer leur consommation d’énergie sans affecter leur qualité de vie.
• phénomène de reconnaissance sociale
• Le problème aujourd’hui, c’est que les politiques ont été formés pour être les garants du système tel qu’il est.
• Sur la question écologique, on n’a pas le choix, on n’a qu’une planète, on n’a pas de plan B, donc on est obligé d’intégrer des limites et je pense que très rapidement les gens ne les percevront plus.
• mieux partager le temps de travail

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• réfléchir aux nouvelles conditions matérielles de notre existence suppose, comme le suggère Bruno Latour, d’être capables de décider collectivement « d’où nous voulons atterrir », c’est-à-dire de quelles nouvelles manières d’exister et d’habiter nos espaces de vie nous voulons promouvoir.
• faut-il encore décider de comment nous y rendre
• Sans compter qu’avant de savoir où aller et comment y aller, il faut encore savoir où nous sommes !
• Où sommes-nous ? Où atterrir ? Comment y aller ? Un voyage à penser collectivement
• Faut-il aller jusqu’à penser, comme le philosophe Dominique Bourg, que « la démocratie représentative n’est pas en mesure de répondre aux problèmes écologiques contemporains » et que « sauvegarder la biosphère exige de repenser la démocratie elle-même » ?

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• pour le consommateur, l’augmentation progressive de la part des EnR dans le mix électrique permet de faire baisser le coût total de l’électricité », affirme l’étude.