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  • Apr 15, 14

    La gratuité scientifique à quel prix? L'auteur de cet article dresse quelques barrières à certaines pratiques reliées au libre accès, en fait, il cherche à défendre l'idée que de vouloir à tout prix publier beaucoup et trop vite n'est pas nécessairement un bon coup pour les chercheurs. Il propose donc, au-delà des pratiques douteuses sur le plan scientifique, parfois même frauduleuses, (les éditeurs -prédateurs) que le libre accès devrait davantage se développer de façon complémentaire aux articles dans les revues scientifiques, il préconise donc la voie verte. Il propose également pour mettre un frein au monopole exercé par les grands éditeurs, « de restaurer un circuit public d'édition ».

  • Apr 15, 14

    Blogue du recteur de l'Université de Liège. Plusieurs billets concernent le libre accès

  • Apr 15, 14

    Cette étude publiée par la Faculté d’économie et de gestion de l’université KU Leuven de Belgique, « s’intéresse à l’impact que peut avoir sur la viabilité de la science le financement de la recherche universitaire extra-muros par l’industrie ».
    L'étude fait ressortir les contraintes imposées par le financement industriel, notamment des délais important quant à la divulgation des résultats de la recherche.
    « L’analyse et l’interprétation des résultats de l’étude montrent entre autres que :
    • Les scientifiques qui reçoivent des fonds de l’industrie sont deux fois plus susceptibles de ne pas partager les résultats de leurs recherches que ceux qui n’en reçoivent pas;
    • Le partage limité de la recherche universitaire en raison de son financement extra-muros n’est pas seulement un phénomène apparenté aux seules sciences naturelles, mais bien un vaste problème. »
    Une des conclusions tirées par les auteurs de l’étude est que pour assurer une bonne gestion des résultats de la recherche de politiques doivent être misent en place par les principaux acteurs concernés par la recherche, soit les gouvernements et les organismes subventionnaires, afin de promouvoir le partage des résultats de la recherche sous les principes de la science ouverte.

  • Apr 15, 14

    Destiné aux décideurs et responsables des politiques nationaux et internationaux ce document représente un outil de référence relativement au libre accès et aux questions qui en découlent.
    Par ce document, l’Unesco s’intéresse entre autre aux modalités du libre accès, à son importance et à ses avantages, ainsi qu’aux divers modèles économiques de la communication savante, aux stratégies de promotion, aux politiques relatives au développement du libre accès et au droit d’auteur en contexte de libre accès.
    Divers exemples viennent soutenir l’ouvrage.

  • Apr 15, 14

    The University Research Committee has agreed that the University of Lincoln should move to a position where the deposit of (new) substantive research ou...

  • Feb 21, 14

    Les réseaux sociaux académiques semblent prendre de plus en plus de place dans le monde des chercheurs. En effet, tant au plan des établissements universitaires, des organismes de recherche que des chercheurs eux-mêmes, leur présence en nombre ne cesse de croitre depuis les dernières années. Cet article explique en partie ce phénomène par la recherche de visibilité et de partage des chercheurs et par la méconnaissance ou le manque de promotion des dépôts institutionnels. Cet engouement, apporte toutefois sont lot de préoccupations, notamment en ce qui a trait à la pérennité et à l'accessibilité des données, tout comme les préoccupations financières et celles relatives au droit d'auteur. Plusieurs pistes de réflexion sont proposées dans cet article.

  • Feb 04, 14

    L'auteur de cet article reprend les propos d'un article traitant de la voie diamantée, aussi connue en France sous le nom de voie platine.
    L'article amorce par l'identification de ce que l'auteur appelle les ambigüités de la voie dorée. Par définition, les revues en voie dorée ne devraient offrir que des articles en libre accès, ce qui semblerait être très peu souvent le cas dans les revues présentes dans les grands classements de revues. On soulève également le fait que la voie dorée serait plus souvent qu'autrement associée au modèle auteur-payeur ou encore bien pire aux éditeurs prédateurs. Ainsi pour contrer les effets pervers de la voie dorée, entre autres, la voie diamantée est apparu comme étant une solution.
    La voie diamantée est présentée comme étant un modèle à but non lucratif, géré par des organismes, groupes ou associations non commerciaux qui désirent publier en libre accès, et ce de façon gratuite autant pour l'auteur que pour le lecteur. Les auteurs de l'article proposent donc que ce modèle soit soutenu par les fonds publics pour bien fonctionner.

  • Feb 04, 14

    Comme on l'a vu récemment pour l'Université de Montréal, la tension monte entre certaines universités françaises et belges et les grands éditeurs de revues scientifiques. En effet, les augmentations fulgurantes des prix d'abonnements de certaines revues entraînent la mise en place de pétition pour dénoncer les frais irraisonnables ou carrément le désabonnement aux grandes revues scientifiques. La situation inquiète les chercheurs qui en sont les premiers à écoper de ces manques à combler... est-ce que le libre accès pourra être une partie de la solution?

  • Feb 04, 14

    C'est connu depuis quelques mois déjà, les organismes subventionnaires provinciaux et fédéraux envisagent mettre sur pied une politique de libre accès. Sans être les premiers à se lancer dans le mouvement, ils s'inscriraient dans les résultats d'une récente recherche menée pour la Commission européenne par Science Metrix qui affirme que le «libre accès est devenu la principale forme de publication dans plusieurs pays».
    C'est davantage vers la voie verte que les organismes subventionnaires envisagent se tourner, la politique en découlant permettrait de rendre les articles disponibles sur le Web dans l'année suivant leur publication. Toujours selon l'étude, le fait d'opter pour la voie verte ou hybride permettrait également aux chercheurs œuvrant en dehors de la physique et de l'astronomie, de comptabiliser plus de citations que si leur article était déposé dans la voie or.
    Observant une tendance mondiale vers le libre accès et sa voie verte, les effets négatifs qui y sont associés pourraient être moins présents que ce qui est anticipé, notamment en ce qui a trait à la survie des petits éditeurs. Aussi, l'article suggère que le rôle du bibliothécaire sera appelé à être modifié.

  • Feb 04, 14

    Ce sont les travaux de M. Yves Gingras, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en histoire et sociologie des sciences, qui sont présentés dans cet article. On y traite des bons et moins bons usages de la bibliométrie en contexte d'évaluation dans le monde de la recherche.
    M. Gingras, fait ressortir les aspects moins valeureux de la bibliométrie. En effet, lorsque cette méthode de recherche est appliquée à grande échelle et sur des bases quantitatives seulement, s'instaure une «logique de compétition entre les chercheurs et entre les universités» de laquelle un classement sans fondement scientifique resurgirait.
    Aussi, il fait remarquer que bien que la bibliométrie soit indispensable pour comprendre et apprécier l'évolution du monde de la science en général, on ne peut pas appliquer cette même analyse sur de plus petits ensembles, car la réalité de chacun des domaines diffère considérablement. Aussi, il est noté que la comparaison basée sur le seul facteur d'impact ne peut tenir la route lorsque vient le temps, par exemple, d'évaluer une revue reliée à l'étude locale d'un phénomène versus une revue consacrée aux grandes sciences.

  • Feb 04, 14

    Les auteurs de cet article dressent un portrait positif du mouvement vers le libre accès des publications scientifiques. Ils saluent, entre autres, les initiatives des organismes subventionnaires et celles des institutions qui mettent en place des répertoires pour permettre aux chercheurs affiliés de pouvoir déposer leurs produits de la recherche en libre accès. Néanmoins, ils dressent le portrait d'une situation inquiétante pour les petits éditeurs qui veulent favoriser le libre accès. En effet, les éditeurs qui ne veulent pas faire payer de forts coûts aux auteurs, ou n'ont pas la notoriété pour l'exiger, se voient confronté à une situation financière précaire. De plus, selon ces auteurs, le peu ou l'absence de frais de publications peut être associés à des lacunes au niveau de l'évaluation des articles et des politiques éditoriales en place. Aussi, malgré la volonté d'offrir à faible coût les publications en libre accès, il faudra tout de même toujours assurer un minimum de frais reliés au maintien et à l'évolution de la plateforme utilisée, et c'est à cet égard que les auteurs amènent la réflexion que ce ne sont pas seulement les auteurs qui devraient être financés pour couvrir les frais de publication en libre accès de leurs articles, mais également les revues désirant soutenir le mouvement du libre accès.

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