"J’ai bien conscience avec cette question de prendre le risque de réveiller des démons qui viendraient s’abattre sur cet article. Mais en ce début d’année, il faut bien prendre quelques risques, cela aura au moins le mérite de nous réveiller des nos agapes festives ou de nous “dé-fossiliser” open souce Michu marque marketing logiciel libre !
Pour que mon questionnement soit bien interprété, je vais tenter d’en expliquer le contexte précis. On oppose souvent open source et logiciel libre. Le premier a fait le choix de ne s’en tenir qu’aux aspects pratiques du logiciel libre, c’est-à-dire l’ouverture du code et n’oublions pas c’est le point n° 1 de la définition de l’open source sa libre diffusion."
"L'idée est de fournir un document présentant la « fabrication » d'un logiciel libre, en illustrant différents allers-retours entre utilisateurs, développeurs et communautés. Illustrer différentes occasions d'exercer les libertés offertes par le logiciel libre, voilà le fil conducteur retenu pour ce document."
"Il y a un mois Google annonçait la sortie du Cr 48, premier prototype de netbook tournant sous Chrome OS. Avec cet OS d’un nouveau genre vos applications, vos fichiers, vos données, etc. sont déplacés sur le Web, votre ordinateur n’est plus qu’un terminal permettant d’y avoir accès. C’est en apparence fort pratique (et c’est de qualité Google) mais il y a un réel risque de sacrifier sa liberté, individuelle et collective, sur l’autel de notre confort."
"Microsoft has decided not to follow the Apple and Google route of putting its mobile operating system on tablets. Instead, Microsoft has chosen a more deliberate method where it will migrate its client OS onto tablets."
"Canonical ne déroge pas à la règle et utilise ce format de présentation pour vendre les mérites de sa distribution GNU/Linux Ubuntu. J’ai découvert récemment un webinar en anglais datant du mois de septembre et présentant l’offre de cloud computing de Canonical. Une offre qui cible bien sûr les entreprises en premier lieu. Notez bien qu’il vous faudra fournir des coordonnées et une adresse email pour accéder au webinar (nécessite Flash)."
"Voici une question à laquelle les adeptes des logiciels libres et de l’open source vont être tentés de répondre immédiatement par la négative. Pourtant elle mérite que l’on s’y arrête quelques secondes."
"« Je voulais depuis longtemps venir ici à Microsoft, parce que l’entreprise symbolise beaucoup des priorités de la politique économique du Gouvernement, à la fois parce qu’elle représente la très haute technologie, l’avenir de l’économie mondiale et qu’elle a fait un choix d’implanter une grande partie de ses activités, notamment de ses activités de recherche en France et je sais qu’un certain nombre de mesures que nous avons prises, comme le crédit impôt recherche n’y est pas étranger. »"
"L’abandon de GNOME pour Unity, puis la volonté de s’émanciper à moyen terme de Xorg pour aller vers Wayland, étaient déjà des annonces retentissantes. Deux grandes nouvelles sont venues s’y ajouter en ce début d’année. Des annonces concernant l’un des plus grands trolls de l’histoire du logiciel libre, le grand combat des jeux de widgets Qt VS GTK.
En effet, en tant que distribution GNOME, Ubuntu avait l’ensemble de sa stack graphique basée sur GTK et les technologies dérivées. C’est Kubuntu, distribution KDE officiellement supportée, qui intégrait Qt. Or, dans les prochaines versions d’Ubuntu, cet équilibre qui semblait à la fois si stable et si évident va littéralement voler en éclats."
"Google Analytics est un outil de calcul de statistiques de fréquentation des sites web fournit par Google. Il permet aux webmestre de suivre la fréquentation de son site, de savoir de quel moteur de recherche viennent les visiteurs, combien sont des visites unique combien de visiteurs reviennent etc etc. Il suffit pour le webmestre de s’enregistrer chez Google puis d’ajouter un petit script dans un endroit de ses pages web, c’est très simple et efficace. Car il faut bien le reconnaître cet outil est, comme souvent chez Google, bien fait et performant. Si vous y ajoutez le fait qu’il est gratuit vous comprendrez vite pourquoi on le retrouve à tout les coins du web."
"Ce sont de grands inconnus, et pourtant nous vivons tous grâce à eux. Ils sont au fondement même de notre vie collective. Ce sont les biens communs. L’air, l’eau, les savoirs, les logiciels et les espaces sociaux. Et bien d’autres choses qui rendent possible la vie quotidienne et le bon fonctionnement de l’économie.
De nombreux biens communs sont cependant menacés – ils sont ôtés à la collectivité, commercialisés, détruits de manière irréversible. Au lieu de cela, ils devraient être cultivés et développés."
"Produire du logiciel libre, le livre culte enfin en français chez Framabook !"
"Rüdiger Czieschla, head of IT at Freiburg, presented on the city's use of OpenOffice on 1 December, at a conference in Badajoz organised by Osepa, a project to increase awareness on the advantages of free and open source software. According to him, using OpenOffice cost the city 200.000 Euro. The proprietary alternative would have cost between 600.000 for just a text editor and 800.000 Euro for the proprietary office suite."
"Au fil des ans, les logiciels libres sont devenus une composante majeure de l'informatique moderne. Les plus grands sites du Web sont construits sur un socle de logiciels libres et il en ira de même des plates-formes de Cloud computing. Nous soutenons que le logiciel libre doit être plus présent dans l'éducation, à trois égards.
Comme outil pédagogique d'une part, outil de travail d'autre part, tant des enseignants, des élèves et des étudiants que des administratifs, et enfin comme objet d'étude dans le cadre d'une discipline informatique à part entière car se situant au coeur de l'informatique moderne.
Le libre a fait sa place dans le système éducatif français, d'une manière significative mais il reste à faire. Dès 1998, un accord-cadre signé par le ministère de l'Éducation nationale et l'Association francophone des utilisateurs de logiciels libres (AFUL), régulièrement reconduit depuis lors, soulignait l'intérêt des logiciels libres pour les établissements d'enseignement, solutions de qualité, dans une perspective d'économies mais aussi de pluralisme technologique.
Le logiciel libre repose sur la vision humaniste d'un patrimoine logiciel partagé, géré en tant que bien commun, semblable au patrimoine de connaissance. Ainsi, le libre est en adéquation parfaite avec les missions du système éducatif et la culture enseignante d'accès et d'appropriation par tous de la connaissance."
"Les éditeurs de logiciels open source doivent lutter quotidiennement contre des préjugés particulièrement tenaces qui circulent dans les entreprises, malgré un volume croissant d'adeptes qui viennent témoigner de la réussite de leurs projets. Mais il est surtout surprenant de constater que ces idées fausses contredisent en fait tout ce que représentent réellement les logiciels open source et que les véritables bénéfices restent encore non identifiés."
"L'Allemagne est considérée comme très active en matière d'open source à destination de ses institutions. Pourtant, le ministère des Affaires étrangères a décidé d'opérer un rétro-pédalage.
Au début des années 2000, ce ministère a entamé une migration de ses serveurs vers des solutions Linux. Puis, ce sont des logiciels libres pour l'informatique de bureau qui ont commencé à être intégrés à l'instar de Firefox, Thunderbird ou encore OpenOffice.org. Les ordinateurs personnels ont par ailleurs été configurés avec un dual boot Windows / Linux."
"Fabrice Epelboin nous révèle aujourd’hui que ReadWriteWeb met fin à ses éditions européennes, avec toutes les questions que cela pose quant au devenir et aux archives de la version française de RWW.
C’est le risque lorsque l’on dépend d’une maison mère américaine et que les articles n’ont jamais eu l’honneur d’une licence Creative Commons (sauf justement ce dernier billet où Epelboin à décidé de s’affranchir de la tutelle dans un dernier baroud d’honneur)."
"Pour lutter contre le piratage à l'étranger, Microsoft a choisi de soutenir une proposition de loi qui oblige les industriels américains à contrôler les licences logicielles des sous-traitants à l'étranger. Cette loi permettrait à Microsoft, au prétexte de concurrence déloyale, de réclamer des amendes aux firmes nationales si elles ne prennent pas des mesures contre leurs sous-traitants."
"The Ubuntu apologists are making all sorts of noise about how Canonical is targeting a new market (tablets and similar screen resolution devices), but we've seen this show too many times before," explained Slashdot blogger Barbara Hudson. "Red Hat didn't get to be profitable (something that still eludes Canonical) by dumping their target customers every year to chase new opportunities."
There are two “classes” of programmers in the world of software development: I’m going to call them the 20% and the 80%.
On January 16, John Kozubik posted to the FreeBSD-hackers list and expressed his disappointment in some of the recent trends in the project. Namely, an increasingly-slow release cycle, too many overlapping "production" releases, and an estrangement between the core developers and end users when it comes to support issues like bug fixes. The list has since debated Kozubik's assessment of the situation in a heroically long thread, but while the majority agree that FreeBSD would benefit from refocusing its energies and polishing its processes, it has not yet developed a concrete plan of action.