Ce qui frappe les élèves est ce que nous partageons avec l’auteur par-delà les siècles. Nous nous touchons par l’angoisse de la mort, la présence du mal et sa fascination, la rage de ne pas pouvoir atteindre l’autre, le doute, même et surtout hyperbolique, l’espoir de la justice, la révolte contre le monde comme il va, la tension vers la liberté, vers le bien, vers le vrai. Bref, par ce qu’incarnent les personnages auxquels les adolescents, c’est un fait, continuent de se comparer, de s’identifier : Alceste, Lorenzo, Sisyphe, Bérénice…