Jean-Michel Morillon's List: MOOC

• Spoc (small private online classes, petits cours privés en ligne)
• L’idée de base est d’utiliser des cours en vidéo de type Mooc et autres fonctionnalités disponibles en ligne comme «contenus» pour des cours donnés dans de vraies salles, de taille normale. En demandant aux étudiants de visionner les vidéos en ligne, les enseignants sont ensuite libres de passer leur temps de cours à répondre aux questions des étudiants, à évaluer ce qu’ils ont assimilé ou non, puis à travailler avec eux sur différents projets.
• les étudiants regardent le cours chez eux, puis font leurs «devoirs» en classe. Débarrassés du besoin de préparer leurs cours, les enseignants peuvent se concentrer sur le reste: les conseils personnalisés, l’aide, tout ce qu’aucun Mooc ne peut apporter.
• Ghadiri passait la première partie de chaque cours à passer en revue les points qui s’étaient révélés les plus problématiques. Les étudiants se divisaient alors en groupes de trois et essayaient de résoudre les problèmes ensemble, après quoi chaque étudiant était interrogé individuellement sur le sujet du jour. Ghadiri m’a dit que les étudiants étaient assez sceptiques au départ, mais qu’à mesure que le semestre avançait, ils avaient constamment obtenu de meilleurs résultats aux évaluations que leurs camarades suivant des cours classiques. Et, en fin de compte, 91% réussirent leur examen —un immense progrès, à en croire Ghadiri, par rapport aux 65% en moyenne des sept dernières années.
• Selon elle, ses étudiants n’auraient jamais pu réussir sans l’aide directe d’un professeur, sans parler de la motivation constante d’avoir à venir travailler en classe avec leurs camarades et les personnes qui allaient les noter.
• Le cours magistral était considéré comme un modèle défectueux de l’époque industrielle. Pourquoi, alors, le porter aux nues dès lors qu’il a été numérisé et diffusé via Internet à l’ère informatique?

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• • fixer leur propre objectif d'apprentissage
   
  • gérer leur propre auto formation au niveau du contenu et de la manière
   
  • communiquer avec d'autres apprenants
• Le terme d'« environnement d'apprentissage personnel » (EAP) est un terme très récent, mais le concept en lui-même ne représente que la dernière étape d'une approche alternative à l'e-learning

• Personal information management (PIM) refers to the practice and the study of the activities people perform in order to acquire, organize, maintain, retrieve and use personal information items such as documents (paper-based and digital), web pages and email messages for everyday use to complete tasks (work-related or not) and fulfill a person’s various roles (as parent, employee, friend, member of community, etc.).
• Research in the area of PIM also relates to work done under the term personal knowledge management.
• There are a number of tools available for managing personal information, but these tools can become a part of the problem leading to “information fragmentation”.
• The User-Subjective Approach is the first approach dedicated specifically to PIM systems design. Its theoretical foundations were first published in a Journal of the American Society for Information Science and Technology paper in 2003.^[6] Another JASIST paper with evidence and implementation for the approach was published in 2008.^[7] The paper had won the Best JASIST Paper award in 2009.^[8] The first user-subjective design scheme was developed and positively evaluated in a Conference on Human Factors in Computing Systems paper published in 2009^[9]

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• Personal knowledge management (PKM) is a collection of processes that a person uses to gather, classify, store, search, retrieve, and share knowledge in his or her daily activities
• PKM integrates personal information management (PIM), focused on individual skills, with knowledge management (KM) in addition to input from a variety of disciplines such as cognitive psychology, management, and philosophy (Pauleen 2009).
• Dorsey (2000) identified information retrieval, assessment and evaluation, organization, analysis, presentation, security, and collaboration as essential to PKM (cited in (Zhang 2009)).
• Wright’s model involves four interrelated domains: analytical, information, social, and learning.
• in Wright’s model, PKM involves the application to problem solving of analytical, information, social, and learning dimensions, which are interrelated (Wright 2007), and so is inherently social.
• An aim of PKM is “helping individuals to be more effective in personal, organisational and social environments”

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• la métacognition consiste à avoir une activité mentale sur ses propres processus mentaux, c'est-à-dire « penser sur ses propres pensées »
• le terme désigne la composante du savoir d'un individu qui concerne les processus mêmes du savoir (acquisition, perpétuation, modification), en quelque sorte « ce qu'il sait de sa façon de savoir »
• Confucius affirmait déjà qu'il ne saurait y avoir de savoir sans une forme de récursivité du savoir : « Veux-tu que je t'enseigne le moyen d'arriver à la connaissance ? Ce qu'on sait, savoir qu'on le sait ; ce qu'on ne sait pas, savoir qu'on ne le sait pas : c'est savoir véritablement. »
• La métacognition désigne l'activité de l'apprenant (élève) qui s'exerce à partir du moment où il n'est plus dans l'action mais dans une réflexion, verbalisée ou non, sur cette action. Il est démontré que cette activité, permettant une prise de conscience des procédures, des méthodes et des processus intellectuels mis en œuvre pour résoudre un problème, améliore l'acquisition des connaissances et le transfert des acquis
• On peut concevoir la métacognition comme la partie de la connaissance de soi relative à la capacité d'apprendre et à la maîtrise personnelle des connaissances acquises.
• L'enseignement devrait donc comprendre une « éducation cognitive » entendue comme la « recherche explicite, dans la mise en œuvre d'une démarche de formation, de l'amélioration du fonctionnement intellectuel des personnes^[3]. »
• la métacognition se développe par des démarches de type stratégique : auto-évaluation (motivation) et évaluation des difficultés ; fixation de sous-objectifs et d'étapes (planification) ; régulation par ajustements continus (autorégulation)

• la régulation métacognitive peut notamment se répartir selon les degrés et formes d'explicitation possibles par l'apprenant, reposant sur sa lucidité et ses capacités d'expression. Allal, Rouiller et Saada-Robert ont dégagé quatre catégories de régulation métacognitive^[5] :

   
   
  • les « régulations implicites », arrière-plan inaccessible pour le sujet dans tous les cas ;
   
  • les « régulations explicitables », mises au jour seulement en cas de sollicitation par des interlocuteurs ou des protocoles particuliers ;
   
  • les « régulations explicitées », celles qui traduisent la métacognition vécue et que le sujet met en œuvre délibérément et peut exprimer aisément ;
   
  • les « régulations instrumentées », sollicitées et renforcées par des apprentissages à visée métacognitive.

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• La pédagogie de ce MOOC s’est construite à travers une démarche épistémologique héritée des enseignements du philosophe des sciences Gaston Bachelard.
• épistémologique
• Dans La Formation de l’Esprit Scientifique, Bachelard remet ainsi en question l’enseignement dogmatique des sciences : « Les professeurs de sciences imaginent que l'esprit commence comme une leçon, qu'on peut toujours refaire une culture nonchalante en redoublant une classe, qu'on peut faire comprendre une démonstration en la répétant point pour point. Ils n'ont pas réfléchi au fait que l'adolescent arrive dans la classe de Physique avec des connaissances empiriques déjà constituées : il s'agit alors, non pas d'acquérir une culture expérimentale, mais bien de changer de culture expérimentale, de renverser les obstacles déjà amoncelés par la vie quotidienne ».
• La vérité scientifique est révisable, perfectible. Elle est la somme des corrections.
• Il y a en effet une différence de principe entre un nombre mathématique et un résultat scientifique : ce dernier est toujours une approximation, et doit être présenté comme tel. L’épistémologue suisse Ferdinand Gonseth précise cette idée en définissant la science comme une relation entre deux « horizons » : « l’horizon théorique », la structure mathématique, et « l’horizon de réalité », l’observation physique qui dépend toujours de la précision des instruments de mesure.
• En somme, l’enseignement scientifique contredit souvent le sens commun, mais aussi les réflexes scolaires du calcul précis, et il est affaire de méthode plus que de faits.

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• Synthèse des points clés abordés par la vidéo
• • Notre système solaire est à la périphérie de la galaxie de la Voie Lactée.
   
  • Le système solaire englobe tous les objets sous l’influence gravitationnelle du soleil.
   
  • Il y a deux catégorie de planètes dans le système solaire : les planètes géantes gazeuses et les planètes telluriques (ou rocheuses).
   
  • Du plus lointain au plus proche du soleil, on peut classer les objets ou zones du système solaire :
   
   
  1. la limite externe du Nuage d’Oort (objet sphéroïde et théorique englobant le système solaire) ;
   
  2. la limite externe de la ceinture de Kuiper ;
   
  3. Pluton ;
   
  4. Neptune ;
   
  5. Uranus ;
   
  6. Saturne ;
   
  7. Jupiter ;
   
  8. la ceinture d’astéroïdes ;
   
  9. Mars ;
   
  10. la Terre ;
   
  11. Vénus ;
   
  12. Mercure ;
   
  13. Soleil.

• L'épistémologie serait selon la « tradition philosophique francophone », une branche de la philosophie des sciences qui « étudie de manière critique la méthode scientifique, les formes logiques et modes d'inférence utilisés en science, de même que les principes, concepts fondamentaux, théories et résultats des diverses sciences, afin de déterminer leur origine logique, leur valeur et leur portée objective »^[1]. Dans la tradition philosophique anglo-saxonne, l'épistémologie se confondrait avec la théorie de la connaissance, et ne porterait donc pas spécifiquement sur la connaissance scientifique.

• Gaston Bachelard, né à Bar-sur-Aube le 27 juin 1884 et mort à Paris le 16 octobre 1962, est un philosophe français des sciences et de la poésie.

   

   

   

   

• Épistémologue reconnu, il est l'auteur d'une somme de réflexions liées à la connaissance et à la recherche scientifique. Il invente ce qu'il appelle la « psychanalyse de la connaissance objective^[1] », inspirée par les travaux de Jung, qui introduit et étudie la notion d'obstacle épistémologique : ce sont des obstacles affectifs dans l'univers mental du scientifique et de l'étudiant, obstacles qui les empêchent de progresser dans la connaissance des phénomènes. Dans la Philosophie du non, il analyse des exemples tirés de la logique, de la physique ou encore de la chimie.

   

  Bachelard renouvelle l'approche philosophique et littéraire de l'imagination, s'intéressant à des poètes et écrivains (entre autres Lautréamont, Edgar Poe, Novalis), au symbolisme ou encore à l'alchimie^[2].

   

  Il interroge alors les rapports entre la littérature et la science, c'est-à-dire entre l'imaginaire et la rationalité. Ils peuvent être conflictuels ou complémentaires. Une image au fort pouvoir affectif provoquera des illusions pour le scientifique (l'image du feu par exemple pourra obstruer la connaissance de l'électricité^[2]). Mais cette même image produira en littérature des effets inattendus et surchargés poétiquement : son pouvoir de fascination sera très important (chez Novalis ou Hölderlin^[3] par exemple pour l'image du feu). La rêverie poétique « sympathise » intimement avec le réel, tandis que l'approche scientifique est « antipathique » : elle prend ses distances avec la charge affective du réel. L'imagination pourra cependant aider à la construction des modèles scientifiques.

• Les échelles et les unités 
• Un certain nombre d'unités traitées ici sont des unités intégrées au système international d’unités. Il s’agit d’un système décimal (on passe d’une unité à ses multiples ou sous-multiples par un facteur 10) sauf pour la mesure du temps. L’abréviation de « Système International » est SI, quelle que soit la langue utilisée.

• Vaisseau spatial habité (en anglais : Manned Spacecraft)

   

  Il s’agit d’un vaisseau spatial piloté conçu pour transporter des astronautes dans l’espace. Contrairement à une sonde automatique, il nécessite un compartiment pour l'équipage et des systèmes de support de vie. Les vaisseaux spatiaux habités sont soit réutilisables, tels que la navette spatiale, ou conçus pour un usage unique, tels que Soyouz. Ce dernier type est généralement modulaire, constitué d'un module de descente qui loge l'équipage et d’un module de service qui contient la propulsion, l'alimentation en énergie et les systèmes de support de vie. Seul le module de descente retourne vers la Terre.

• Le Système international compte sept unités de base, censées quantifier des grandeurs physiques indépendantes possédant chacune un symbole :

                                       

  Grandeur	Symbole de la grandeur	Unité SI	Symbole associé à l'unité
  Masse	M	kilogramme	kg
  Temps	t	seconde	s
  Longueur	L	mètre	m
  Température	T	kelvin	K
  Intensité électrique	I	ampère	A
  Quantité de matière	N	mole	mol
  Intensité lumineuse	J	candela	cd

• Sonde spatiale de survol (en anglais : Flyby Spacecraft)

   

  Il s’agit d’un vaisseau spatial qui suit une trajectoire continue vers un objet cible, lui permettant de ne pas être capturé dans une orbite. Il doit transporter des instruments capables d'observer des cibles déterminées en compensant le mouvement apparent de ces dernières. Les données recueillies sont ensuite envoyées vers la Terre ou stockées pendant les périodes durant lesquelles la Terre n’est pas alignée avec leur antenne. La sonde doit être en mesure de rester opérationnelle pendant de longs voyages interplanétaires et doit être en mesure de transmettre des données à des vitesses élevées. Les sondes spatiales ont conduit la phase de reconnaissance initiale de l’exploration du système solaire.

• Année-lumière : c’est une unité de distance utilisée en astronomie. Une année-lumière est la distance parcourue par la lumière dans le vide en l'espace d'une année, soit environ 10 000 milliards de kilomètres (10¹⁶ m).

   

  Quelques repères :
  •    distance qui sépare notre système solaire de l’étoile la plus proche = 4,22 années-lumière ;
  •    taille de notre galaxie = 100 000 années-lumière.
• Unité Astronomique : l'unité astronomique (abrégé UA ou ua) est une unité utilisée pour mesurer les distances, surtout entre les objets du système solaire ou entre ceux situés dans d'autres systèmes planétaires. Elle est historiquement basée sur la distance entre la Terre et le Soleil et vaut exactement 149 597 870 700 m (valeur fixe recommandée) (définition issue de Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Unit%C3%A9_astronomique). Nous l'arrondirons à 150 millions de km.

• Orbiteur (en anglais : Orbiter Spacecraft)

   

  Il s’agit d’un vaisseau spatial conçu pour voyager vers une planète ou une lune lointaine afin d’y entrer en orbite. Il doit posséder une capacité de propulsion suffisante pour décélérer au bon moment et atteindre l'insertion en orbite. Un orbiteur doit supporter des périodes pendant lesquelles il n’est pas exposé au Soleil, il doit résister à des variations thermiques extrêmes et avoir une capacité de stockage d'énergie s’il est équipé de panneaux solaires. Les orbiteurs ont effectué la deuxième phase de l’exploration du système solaire en étudiant en profondeur chacune de ses planètes.
• Parsec : le parsec (symbole pc) est une unité de longueur utilisée en astronomie. Son nom vient de la contraction de « parallaxe-seconde ». Le parsec est défini comme étant la distance à laquelle il faut reculer pour voir le segment entre la Terre et le Soleil sous un angle d'une seconde d'arc (rappel : 1 seconde d'arc = 1/3600 degré). Un parsec vaut 3,085 678×10¹⁶ m, soit environ 206 265 unités astronomiques ((1/tan(1")) ua exactement) ou 3,2616 années-lumière (définition issue de Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Parsec). On arrondira à 1 pc = 3 années-lumière dans ce cours.

• Sonde atmosphérique (en anglais : Atmospheric Spacecraft)

   

  Il s’agit d’un petit engin qui se sépare d’un vaisseau spatial principal à l'approche d’une planète afin étudier son atmosphère gazeuse lors de sa chute. Il est équipé d'une coiffe de protection thermique pour le protéger lors de l'entrée atmosphérique et d’un parachute pour ralentir sa descente. Les données sont généralement transmises au vaisseau principal où elles sont enregistrées pour une transmission ultérieure à la Terre. Les ballons sonde sont des sondes atmosphériques dont les instruments sont suspendu à un sac de gaz porteur, déployé dans l'atmosphère d'une planète pour floter et voyager au gré des vents. Leur avionique est limitée et comporte principalement une alimentation électrique et des équipements de télécommunications afin d’en permettre le suivi.
• Kelvin : le kelvin (symbole K, du nom de William Thomson, Lord Kelvin) est l'unité SI de température. La température de 0 K est égale à -273,15°C et correspond au zéro absolu. Une variation de température d'1 K est équivalente à une variation d'1°C.
• Pascal : le pascal (symbole : Pa) est l’unité SI de contrainte et de pression. Il tient son nom du scientifique Blaise Pascal. Une pression d’un pascal est une contrainte uniforme qui, agissant sur une surface plane de 1 mètre carré, exerce perpendiculairement à cette surface une force totale de 1 newton. Les équivalences sont : 1 013 hPa = 1,013 bar (définition issue de Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pascal_%28unit%C3%A9%29).
• Bar : le bar (symbole bar) est une unité de mesure de pression équivalent à 100 000 pascals. Le bar présente l'intérêt d'être voisin de l'atmosphère (pression atmosphérique moyenne à la surface de la mer).

• Atterrisseur (en anglais : Lander Spacecraft)

   

  Il s’agit d’un vaisseau spatial conçu pour atteindre la surface d'une planète ou d’une lune et d’y rester opérationnel suffisamment longtemps pour transmettre des données vers la Terre. Il peut atteindre la surface de la planète soit avec des propulseurs soit à l’aide d’un parachute.
• • les distances dans le Système Solaire et la galaxie : http://stars.chromeexperiments.com/
   
  • les distances en général, de l'infiniment petit à l'infiniment grand : http://htwins.net/scale2/
   
  • le système solaire traversé à la vitesse de la lumière : https://vimeo.com/117815404

• Pénétrateur (en anglais : Penetrator Spacecraft)

   

  Il s’agit d’un type de sonde destiné à pénétrer la surface d'une planète. Il doit résister à un impact de plusieurs centaines de G à l’atterrissage puis mesurer et transmettre les propriétés de la surface qu’il a pénétrée. L'autre méthode est un crash volontaire sur une surface et l'observation à distance du nuage de débris produit par le choc.  Les données sont généralement transmises au vaisseau principal pour une retransmission vers la Terre.

• Astromobile (en anglais : Rover Spacecraft)

   

  Il s’agit d’un véhicule semi-autonome itinérant, pilotable de la Terre et déployé sur la surface d'une planète ou d'un autre corps. Il prend des photographies et des analyses de sol et les transmet vers la Terre. 

• Vaisseau spatial d’observation (en anglais : Observatory Spacecraft)

   

  Ce type de vaisseau spatial ne se déplace pas vers une destination à explorer.  Il occupe plutôt l’orbite terrestre, ou celle du soleil, depuis laquelle il observe des cibles éloignées sans subir les effets de flou et d’obscurcissement de l’atmosphère terrestre. C'est le cas par exemple des télescopes spatiaux et des observatoires du rayonnement des hautes énergies.

• Vaisseau spatial de communication et de navigation (en anglais : Communications and Navigation Spacecraft)

   

  Ils sont très nombreux dans l’orbite de la Terre mais sont en grande partie accessoires pour les missions d’exploration spatiale. Dans le futur, il est envisagé de déployer ce type de vaisseau sur Mars, Vénus ou d’autres planètes pour assurer les communications avec les orbiteurs, astromobiles, pénétrateurs et les sondes atmosphériques opérant dans ces régions du système solaire.

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• La Terre, la bonne taille à la bonne distance du Soleil
• Et 3500 seraient inactifs mais encore en orbite. Parmi ces objets, notons la Station Spatiale Internationale ou ISS en orbite basse à seulement 400 km au-dessus de nos têtes. Son premier module fut mis en place en 1998, suivi de 13 ans de construction et d'assemblage. Aujourd'hui l'ISS offre un volume de 400 m³ et est habitée en permanence depuis 2000.
• Le nombre de satellites lancés depuis 1957 est estimé à plus de 7000 ! Un bon millier serait encore opérationnel.
• La Terre est également en interaction permanente avec l'espace et en particulier avec le Soleil. Chaque jour, plus de 100 tonnes de matériaux spatiaux (ex: météorites) tomberaient sur Terre . 

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• • L’âge de la Terre est celui du système solaire : 4,5 milliards d’années.
   
  • Environ 70% de la Terre est recouvert d’eau à l’état liquide, grâce à une température et une pression adaptées.
   
  • La Terre est à 150 millions de km du Soleil. Sa température au sol varie de -90 à 60°C.
   
  • La Terre est suffisament massive pour garder une atmosphère. Celle-ci est structurée en couches dans lesquelles la température et la pression évoluent en fonction de l'altitude. L'atmosphère est composée principalement d’azote, d’oxygène, de CO2, d’argon et de vapeur d’eau. La pression à sa surface est de 1 bar.
   
  • La structure interne de la Terre est composée de 4 grandes parties : la croûte et le manteau (solides),  le noyau externe (liquide) et le noyau interne (solide). Les mouvements relatifs des deux parties du noyau génèrent un champ magnétique protégeant la Terre des particules émises par le Soleil.
   
  • Tous les éléments cités ci-dessus participent à l'habitabilité de la Terre.