Promotion de Santé Suisse
Trop de sel dans l'alimentation des français dossier de presse Nutrinet
Ce guide pédagogique, réalisé par l'association ANIS étoilé en 2010, a pour objectifs de donner des élèments méthodologiques pour la mise en place d'ateliers cusine. Il précise les différentes étapes des ateliers et les conditions à réunir (sécurité, hygiène, matériel, ambiance) pour un bon déroulement. Il souligne les éléments à valoriser pour créer un atelier intéressant et constructif (recettes, dynamique de groupe, valorisation des préparations et dégustation). Il propose aussi des fiches récapitulatives par tranche d’âge et présente succinctement des structures susceptibles d'accueillir ces ateliers en Auvergne.
ienvenue dans ce sixième numéro consacré à une question ancestrale et contemporaine à la fois. En matière de santé, l’alimentation est en effet un point central, et si les addictions ou le stress peuvent se conjuguer au futur, voire au conditionnel, la nourriture sera toujours présente. Inscrit dans une histoire millénaire dont Hippocrate pourrait être un des pères fondateurs, « que ta nourriture soit ton médicament et ton médicament ta nourriture », chacun de nous à un rapport particulier à l’alimentation, voire à l’absence d’alimentation. Nos dimensions personnelles, familiales, sociales, géographiques, ou encore ethniques vont influencer notre comportement alimentaire. Illustration
Notre société occidentale contemporaine a toutefois ceci de particulier qu’après avoir géré durant des siècles la pénurie elle doit maintenant gérer le trop plein…
Ce que nous vous proposons ici c’est moins de publier un énième dossier sur l’alimentation que de montrer comment l’éducation pour la santé, dans son approche plurifactorielle, va permettre de mieux trouver ce « juste équilibre ». Occasion de montrer également comment les savoirs, savoir-faire et savoir-être de notre réseau sont au service de l'éducation nutritionnelle, et ce quelles que soient la diversité des publics avec lesquels nous travaillons dans l’ensemble de la région : enfants ou personnes âgées, cadres en entreprises ou personnes précaires. Bonne lecture !
L'Agence vient de réaliser la plus large photographie jamais réalisée des apports nutritionnels et expositions alimentaires aux substances chimiques de la population en France, en vue d'évaluer le risque à long terme de ces expositions. D'une façon générale, EAT 2 confirme le bon niveau de maîtrise des risques sanitaires associés à la présence potentielle de contaminants chimiques dans les aliments en France, sur la base des seuils réglementaires et valeurs toxicologiques de référence disponibles.
L’obésité est une maladie chronique qui connaît une tendance à l’aggravation avec le temps.Développer la prévention, intervenir précocement sur les processus physiopathologiques est donc essentiel. La prise en charge doit s’adapter à la diversité phénotypique et évolutive des situations individuelles. Des progrès sont nécessaires dans l’organisation de soins (accessibilité, lisibilité, cohérence de la chaîne de soins), la formation des professionnels de santé et l’adaptation des équipements pour améliorer la qualité et la sécurité des soins.
Le PNNS 2011-2015, qui s’articule avec le Plan obésité (PO), en plus des principes généraux qui devraient reprendre en les complétant les principes du PNNS 2006-2011, sera orienté autour de 4 axes et un volet transversal.
Le premier axe s’attache à réduire par des actions spécifiques les inégalités sociales de santé dans le champ de la nutrition au sein d’actions générales de prévention. Le développement l’Activité Physique et Sportive (APS) et limitation de la sédentarité, seront développés dans le second axe. Le troisième axe propose d’organiser le dépistage et la prise en charge du patient en nutrition ainsi que de diminuer la prévalence de la dénutrition. Le quatrième axe cible la valorisation du PNNS comme référence pour les actions en nutrition ainsi que l’implication des parties prenantes.
Enfin la formation, la surveillance, l’évaluation et la recherche seront traitées dans un volet transversal.
Cette publication, réalisée dans le cadre du programme Réactivité, constitue les actes de la journée intitulée « Le poids un obstacle au mouvement : Quand les acteurs facilitent l’engagement durable des publics » le 26 mars 2011 à Dardilly
En France, 15 % des adultes et 3,5 % des enfants présentent une obésité, 32 % des adultes et 14,5 % des enfants sont en surpoids, soit un adulte sur deux et un enfant sur cinq en excès de poids. Chez les enfants, si la situation est installée à la puberté, le risque de rester en surpoids ou obèse est élevé (entre 20 et 50% avant la puberté et entre 50 et 70% après la puberté) . Or les conséquences du surpoids et de l’obésité sont nombreuses et parfois graves: augmentation du risque de diabète, de maladies cardio-vasculaires, conséquences morphologiques et esthétiques, stigmatisation, retentissement psychologique, etc. Améliorer la prise en charge médicale de ces malades est cruciale. C’est l’objectif de la HAS au travers de ces recommandations.
Aperçu des contenusL'augmentation de la prévalence de l'obésité est un phénomène préoccupant en raison de ses répercussions sur la santé de la population et des coûts qui y sont associés. Afin de promouvoir des politiques publiques favorables à la santé, cet avis documente l'influence des politiques agroalimentaires à caractère économique qui peuvent avoir un impact sur l'alimentation et le poids de la population. À cette fin, il passe en revue les mesures économiques suivantes : les subventions agricoles, les politiques commerciales, les programmes agricoles de recherche et de développement, les programmes de promotion agricole, les interventions agricoles visant l'approvisionnement institutionnel, comme les programmes de gestion des surplus agricoles et les programmes Farm to School et finalement, les interventions sur les prix.
À la lumière des connaissances recensées, cet avis identifie trois pistes d'interventions prometteuses pour guider les actions en matière de politique agroalimentaire, soit :
Accroître la présence de marchés publics offrant des fruits et légumes, notamment dans les zones défavorisées;Développer une politique de la transformation cohérente avec les objectifs de santé publique;Développer un programme scolaire offrant des fruits ou des légumes et du lait.
Pour la cinquième année, la Direction des études de l’évaluation et des statistiques (DREES) du ministère chargé de la santé publie les principales données qui permettent le suivi des objectifs de la loi de santé publique. La sédentarité et l'inactivité physique sont abordées dans l'objectif 9 de la loi et sont documentées par des données issues du Baromètre santé 2005 et de l'Étude nationale nutrition santé 2006.
"créé en 2003 avec le soutien de l’Association Nationale des Industries Alimentaires (ANIA), du CNIEL (Interprofession laitière), de la fondation Nestlé, du secrétariat d’Etat au logement et du ministère de l’agriculture, le Programme alimentation et insertion (PAI) repose sur deux principes fondateurs : sensibiliser les personnes recourant à l’aide alimentaire à l’équilibre alimentaire et créer du lien social. Au-delà de l’aide alimentaire et de la distribution d’aliments, le PAI a pour objectif de faire passer des messages sur l’alimentation à des personnes vulnérables sur le plan financier ou psychosocial, plus touchées généralement par les pathologies liées à l’alimentation.
Chaque année, plus de 6 000 associations d’aide alimentaire participent au PAI et plus d’un million de personnes en difficulté ayant recours à l’aide alimentaire en bénéficient."