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Gely mat's List: Adolescents/Jeunes adultes

  • Mar 10, 11

    L’adolescence semble être aujourd’hui une réalité évidente. Les médias, les parents, mais aussi les professionnels ne cessent pourtant d’en débattre. Et la littérature abonde sur les difficultés de l’adolescent. Qu’en est-il donc de son statut ? Quel rapport l’adolescence entretient-elle avec la puberté ? S’agit-il d’une phase naturelle du développement, comme l’ont soutenu les psychologues ?
    Cet ouvrage rappelle que l’adolescence constitue d’abord une réalité sociale, correspondant à un montage opéré par les sociétés occidentales. Elle n’est toutefois que la forme que vient prendre dans ces sociétés une problématique d’ordre général qui est la sortie de l’enfance. Dès lors, ce sont les processus que celle-ci recouvre qui doivent être interrogés. Leur mise en évidence permet d’être mieux armé pour faire face aux questions que l’adolescence provoque de nos jours dans nos société

  • Mar 23, 11

    Enquête de la Fédération Française de Cardiologie

    La Fédération Française de Cardiologie a présenté les résultats de son enquête menée auprès d’enfants de CM1 et CM2 d’une part, et auprès de collégiens, de la 6ème à la 3ème.
    Comme chaque année, les objectifs de l’enquête sont:
    - D’identifier les perceptions, opinions et pratiques des adolescents et des enfants
    - D’évaluer l’impact de la campagne
    - De déterminer, au vu des résultats, les axes d’action possibles pour lutter contre le tabagisme
    Cette année l’enquête élargissait son champ d’action a l’alimentation et à l’activité physique, pour « coller » au thème de campagne de la FFC : « 0 cigarette + 5 fruits et légumes par jour + 60 minutes d’activité physique quotidiennes »

  • Mar 23, 11

    Le Comité technique des vaccinations (CTV) qui regroupe des experts de différentes disciplines (infectiologie, pédiatrie, microbiologie, immunologie, épidémiologie, santé publique, médecine générale, économie de la santé, sociologie…), comité technique permanent dépendant d’une des commissions spécialisées du HCSP, élabore une proposition de calendrier vaccinal qui est ensuite validée par le Haut Conseil de la santé publique.

    Le calendrier vaccinal, qui fixe les vaccinations applicables aux personnes résidant en France en fonction de leur âge, résume les recommandations vaccinales « générales ». Il existe en outre des recommandations vaccinales « particulières » propres à des conditions spéciales (risques accrus de complications, d’exposition ou de transmission) ou à des expositions professionnelles. Ces recommandations sont présentées depuis 2009 vaccin par vaccin.

    Le calendrier vaccinal 2011 introduit de nouvelles recommandations qui concernent les vaccinations contre la fièvre jaune, la grippe saisonnière, les infections invasives à méningocoque, les infections à papillomavirus humains (HPV) et la rougeole.

    Les recommandations vaccinales liées à des voyages et séjours à l’étranger font l’objet d’une publication spécifique dans le BEH « Recommandations sanitaires pour les voyageurs » et ne sont pas incluses dans le calendrier vaccinal 2011.

  • Jun 30, 11

    La présente étude visait à documenter le phénomene de la consommation d'alcool, de cannabis et d'autres drogues chez les jeunes de 18 à 24ans qui fréquentent les centres d'éducation aux adultes au Québec et à identifier les facteurs psychosociaux associés à l'intention que pourraient avoir certains de limiter leur consommation d'alcool ou de ne pas consommer du cannabis.

    À cette fin, une collecte de données a eu lieu au printemps2010. Un total de 545jeunes adultes choisis au hasard dans neuf centres d'éducation aux adultes de six régions du Québec, a été sollicité pour participer à l'étude. Les jeunes qui ont accepté de participer ont été rencontrés par un membre du personnel de recherche qui leur a expliqué les objectifs de l'étude et les a invités à signer un formulaire de consentement et à compléter l'un ou l'autre des deux questionnaires utilisés faisant référence à l'un ou l'autre des deux comportements étudiés.

    Un tronc commun de questions sociodémographiques et liées aux habitudes de consommation était présent dans les deux questionnaires. Les questionnaires permettaient aussi de mesurer les variables d'un cadre théorique basé principalement sur la théorie du comportement planifié et qui intégrait également trois variables théoriques additionnelles issues du domaine de la psychologie sociale. Les variables dépendantes étaient l'intention de limiter sa consommation d'alcool à un maximum de trois (pour les filles) et quatre (pour les garçons) à chaque occasion dans le mois qui vient (questionnaire alcool) et l'intention de ne pas consommer de cannabis dans le mois qui vient (questionnaire cannabis).

    Au total, 410jeunes ont répondu à l'un ou l'autre des questionnaires, pour un taux de participation de 75,2%. Les analyses descriptives portent sur cet échantillon de 410participants. Par ailleurs, pour les analyses psychosociales et de prédiction, seuls les consommateurs dans la derniere année étaient conservés pour un total de 141personnes pour l'alcool et 133 pour le cannabis.

    Les 410répondants sont répartis presque également selon le sexe. L'âge moyen est de 20ans (±1,77) et la majorité d'entre eux sont nés au Québec et parlent uniquement le français ou l'anglais à la maison. Presque tous les répondants (90,7%) ont consommé de l'alcool dans la derniere année et 80,0% en ont pris dans les 30jours précédents. Le quart des répondants consomment de l'alcool au moins une fois par semaine, mais pas tous les jours (25,6%). Parmi les jeunes qui ont consommé de l'alcool dans les 30 derniers jours, 84,6% l'ont fait de façon excessive au moins une fois pendant cette période et pres du quart le font de façon excessive au moins une fois par semaine (24,1%). La consommation excessive est définie comme le fait de boire plus de trois consommations pour les filles ou plus de quatre pour les garçons dans une même occasion. En ce qui a trait au cannabis, plus de la moitié des répondants en ont consommé au moins une fois dans la derniere année (52,7%) et 39,9% en ont pris dans les 30 derniers jours. Plus d'un répondant sur dix consomme du cannabis tous les jours (13,4%). Parmi les jeunes qui rapportent avoir consommé du cannabis dans les 30 derniers jours, plus du tiers (33,7%) en prend quotidiennement.

    En ce qui a trait aux autres types de drogues consommées par les répondants au moins une fois dans la vie, les amphétamines et l'ecstasy sont les plus populaires, avec des proportions respectives de 42,4% et 38,4%. Plus du tiers des jeunes ont pris au moins une fois des champignons magiques (35,3%) et plus du quart ont pris au moins une fois de la cocaïne (26,7%). Notez aussi des proportions supérieures à 10% pour la consommation de LSD (13,0%), GHB (12,5%) et PCP (10,3%) au moins une fois dans la vie.

    Les résultats révelent que pour aider les jeunes à limiter leur consommation d'alcool ou à s'abstenir de consommer du cannabis, les interventions devraient être axées sur le développement d'une attitude favorable et d'un sentiment de contrôle face à ces comportements. Plus précisément, il faudra faire valoir que le fait de limiter sa consommation d'alcool permet d'éviter la déprime et que s'abstenir de consommer du cannabis permet d'être plus motivé à faire ses activités (école, travail, loisir). Aussi, les jeunes devraient être capables d'identifier et utiliser des stratégies pour limiter leur consommation d'alcool même lorsqu'ils sont dans des partys et pour résister à la consommation de cannabis même en présence d'amis qui consomment.

    La norme morale au regard de l'alcool ainsi que l'anticipation de regret face à la consommation de cannabis sont d'autres variables importantes sur lesquelles il faudrait agir. Il pourrait ainsi être utile d'amener les jeunes à reconnaître que leur comportement en matiere de consommation d'alcool devrait être lié à leur sens des responsabilités et qu'il pourrait se traduire en principe personnel. Aussi, s'abstenir de consommer du cannabis pourrait leur permettre d'éviter de ressentir du regret, de la tension ou de l'inquiétude.

    En conclusion, ces pistes d'intervention n'enlevent aucunement l'importance du soutien psychosocial et de l'intervention clinique aupres des jeunes adultes qui vivent des difficultés en lien avec leur consommation d'alcool ou de cannabis. Elles se veulent simplement des outils supplémentaires à exploiter pour aider au travail déjà réalisé par de nombreux intervenants des centres d'éducation aux adultes au Québec.

  • Jun 30, 11

    Le Centre d’analyse stratégique, organisme rattaché au premier ministre, vient de publier une note d’analyse , intitulée, Comment améliorer l’accès des jeunes à la contraception ? Une comparaison internationale.
    Elle présente tout d’abord une synthèse des données sur les pratiques sexuelles et l’usage de la contraception chez les jeunes, puis les difficultés qui persistent concernant l’accès des mineurs à l’information et à l’éducation sexuelle.
    Sept propositions pour améliorer l’accessibilité aux contraceptifs chez les jeunes de 15 à 25 ans et impliquer les professionnels sont listées :
    1 Charger les rectorats de fournir aux chefs d’établissement les informations nécessaires pour satisfaire à leurs obligations en matière d’éducation à la sexualité, et d’établir un bilan des mesures engagées.
    2 Insister sur la sensibilisation des jeunes hommes et associer la prévention des IST et l’information sur la contraception en promouvant la double protection, notamment dans les campagnes de communication.
    3 Créer une plateforme d’information unique sur la sexualité (site Internet et application smartphone), qui proposera notamment un recensement des centres d’éducation et de planification familiale et de prévention des IST.
    4 Assurer aux mineurs la confidentialité et la gratuité des modes de contraception féminine et des consultations médicales nécessaires par un système de tiers payant, non notifié aux parents.
    5 Rendre effectif le libre choix contraceptif en développant une information sur l’ensemble des modes de contraception, y compris ceux qui sont encore peu connus en France.
    6 Développer un “bilan première contraception” gratuit pour les jeunes femmes âgées de 15 à 18 ans.
    7 À l’occasion de la délivrance d’une contraception d’urgence, charger les pharmaciens de remettre aux femmes de moins de 25 ans un guide présentant l’ensemble des moyens contraceptifs et contenant un coupon pour un rendez-vous chez un médecin agréé.

    Ces propositions sont à mettre en lien avec les recommandations du rapport d’information sur la contraception des mineures de la députée

  • Jul 19, 11

    Il analyse leurs comportements et leurs attitudes envers les drogues, y compris les soi-disant «euphorisants légaux», c'est-à-dire, les nouvelles substances qui imitent les effets des drogues illicites et sont souvent vendues sous forme de poudres, herbes ou pilules. Il s'agit d'un aperçu concernant l'usage, la disponibilité des médicaments, les opinions sur les réponses de la politique antidrogue et sur les mesures qui pourraient être mieux prises pour s'attaquer à des problèmes de toxicomanie dans la société. De cette enquête ressort également la perception du risque des groupes-cibles interviewés à l'égard de diverses substances, tel que les risques auxquels l'on s'expose par l'utilisation de certains médicaments, allant de l'héroïne au cannabis, ainsi que l'alcool.

  • Oct 26, 11

    Cette publication, réalisée dans le cadre du programme Réactivité, constitue les actes de la journée intitulée « Le poids un obstacle au mouvement : Quand les acteurs facilitent l’engagement durable des publics » le 26 mars 2011 à Dardilly

  • Nov 16, 11

    Tu adores écouter la musique à fond dans ton MP3. Tu aimes particulièrement ressentir en toi les vibrations quand tu vas en boîte de nuit ou dans des concerts. Mais tes oreilles ? Soumises à trop de bruits, elles peuvent souffrir de troubles de l’audition parfois irréversibles.
    Environ 10 % des jeunes de moins de 25 ans présenteraient une perte auditive pathologique. Voici quelques infos et conseils pour préserver tes oreilles et pour qu’écouter de la musique reste un plaisir.


    85dB = seuil de danger
    L’oreille interne est la partie la plus fragile de l’oreille. Elle est constituée des cellules ciliées, le « capital auditif ». Lorsque l’oreille est exposée à un volume sonore excessif, un bruit brutal, des sons aigus, une durée d’écoute prolongée, ces cellules peuvent être abîmées, voire détruites. Elles ne sont pas réparables. Leur destruction est définitive. Une seule exposition à un bruit fort peut suffire à endommager l’ouïe.
    Le seuil de danger pour l’oreille se situe à 85 décibels (bruit d’une tondeuse). Or quand tu écoutes ton MP3 à fond, que tu es en discothèque, tu es souvent exposé à des niveaux supérieurs à 85 décibels, et ce, pendant plusieurs heures.
    Par exemple : le son de ton MP3 à volume maximum équivaut au bruit d’un marteau-piqueur, c’est-à-dire 100 dB. Dans un concert ou en discothèque, le son peut atteindre 105 dB, c’est-à-dire le bruit d’une sirène d’ambulance.
    Ton oreille peut être endommagée bien avant que tu ne ressentes une douleur. Si le seuil de danger pour l’oreille se situe à 85 décibels (dB), le seuil de douleur lui se situe à 120 dB (bruit d’un réacteur d’avion).
    Nous ne sommes pas tous égaux face au bruit. Certaines personnes sont particulièrement vulnérables, notamment en cas d’antécédents médicaux comme les otites.
    Surdité, acouphènes, hyperacousie
    Il existe différentes formes d’atteintes de l’audition : fatigue auditive passagère, surdité, acouphènes (sifflements ou bourdonnement d’oreilles, entendus sans cesse « dans l’oreille » ou « dans la tête »), hyperacousie (intolérance aux bruits, même les plus banals).
    Bourdonnements, sifflements, sensation d’oreille cotonneuse sont des signes qui doivent alerter. Si ces symptômes persistent quelques heures après l’exposition ou après une nuit de sommeil,  il est nécessaire de consulter rapidement un médecin ORL ou d’aller aux urgences.
    Il n’y a pas que les oreilles qui peuvent être endommagées. Quand on est dans la rue, avec son MP3 sur les oreilles, on est dans sa bulle sonore, moins attentif à l’environnement et à ses potentiels dangers.
    Des réflexes simples à adopter
    Quand tu écoutes ton MP3 :
    - règle le volume sonore du baladeur à la moitié du volume maximum ; dans un environnement sonore calme
    - utilise les casques ou écouteurs fournis avec l’appareil. Ils garantissent un volume sonore maximum de 100 dB
    - limite la durée d’écoute à une heure par jour avec un casque ou des écouteurs.
    En concerts et en discothèques :
    - éloigne-toi des enceintes
    - fais des pauses de 30 minutes toutes les deux heures ou de 10 minutes toutes les 45 minutes
    - porte des bouchons d’oreille même si ce n’est pas très glamour. Pour les retirer, il est nécessaire d’être au calme pour ne pas exposer brutalement tes oreilles à un volume sonore élevé. Attention : mettre du coton dans tes oreilles pendant un concert ne constitue pas une protection efficace pour les oreilles.
    Les prises d’alcool et de médicaments peuvent déformer la perception auditive et atténuer la sensation de douleur en cas d’écoute de musique amplifiée.
    Alors de temps en temps, tu peux t’offrir un concert… de silence !
    Pour faire le point sur tes oreilles, tu peux faire tester ton audition chez un médecin ORL,  dans les centres de santé ou auprès d’associations de prévention des troubles auditifs.
    Pour en savoir plus : http://www.ecoute-ton-oreille.com/experience.html et http://www.agi-son.org/

  • Nov 25, 11

    "L’Union nationale des mutuelles étudiantes régionales (USEM) publie aujourd’hui, en partenariat avec l’institut CSA, son enquête de référence sur la santé des étudiants en France. Cette 7e édition met en évidence les impacts directs du lieu d’habitation sur les comportements de santé des 18-25 ans. Le foyer familial permettrait une plus grande proximité avec le système de soins. Les étudiants vivant en colocation sont ceux éprouvant le moins de signes de dépressivité mais sont également ceux dont la consommation de substances psychoactives est la plus préoccupante. Les étudiants vivant en résidence universitaire de leur côté souffrent d’isolement, de difficultés à gérer leur stress voire de violences."

  • Dec 19, 11

    La part des jeunes de 16 à 29 ans est élevée en Nord-Pas-de-Calais, notamment grâce à une démographie féconde et au rayonnement de ses pôles universitaires. Leur situation est hétérogène tant du point de vue de l'activité que du mode de vie. Cette hétérogénéité se renforce à l'échelle des territoires au moment des choix d'études, en particulier lors du passage du secondaire au supérieur, ou lors des premiers pas dans la vie active. La propension des territoires à attirer des jeunes diffère selon l'offre locale de formation, le potentiel d'emplois juniors, leur desserte en transports ou encore l'offre de logements à des prix adaptés…Porteurs d'avenir, la place des jeunes en Nord-Pas-de-Calais suscite de nombreuses questions en lien avec les politiques publiques en région. Quels sont les contrastes dans les territoires régionaux sur le plan de la vie des jeunes ? Dans quelle mesure l'autonomie des jeunes est-elle pénalisée par les difficultés d'accès à l'emploi et au logement ? Quelles sont les similitudes ou les différences parmi les jeunes de la région et les trajectoires qu'ils empruntent ? Au plan national comme régional, de nombreux dispositifs ont vu le jour afin d'aider l'entrée des jeunes dans la vie active qui restemarquée par des difficultés d'insertion. Ainsi les nombreux outils mis en place par l'État et la Région Nord-Pas-de-Calais permettent une mobilisation collective autour de cette importante préoccupation.Dans cette continuité, la Région, la Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l'Emploi, la Direction Régionale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale et l'Insee avec l'appui du Rectorat ont décidé de collaborer à la réalisation d'une étude permettant d'éclairer, sous le prisme des mobilités et des trajectoires, les enjeux que représentent la jeunesse et même les jeunesses pour la vie économique et sociale de la région.« Rien n'est trop difficile pour la jeunesse. » Socrate

  • Jan 26, 12

    Lancée par le Ministère de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative, la campagne « Agir contre le harcèlement à l'École » appelle à une mobilisation et un engagement collectifs et volontaires : les élèves, leurs parents, les enseignants, et tous les professionnels de l'éducation ont chacun, individuellement comme collectivement, un rôle à jouer pour prévenir et combattre le harcèlement à l'École.
    Elle s'appuie sur trois films pour sensibiliser et interpeller tous les publics.

    Ces trois films renvoient vers un site internet conçu comme un centre de ressources pour s'informer et agir : agircontreleharcelementalecole.gouv.fr

  • Jan 27, 12

    Le harcèlement à l’école, tu en entends peut-être beaucoup parler en ce moment de la bouche de tes parents, de tes enseignants, des médias ou des pouvoirs publics. Tu le vis peut-être aussi d’une manière ou d’une autre dans ton collège ou ton lycée …












    Le harcèlement à l'école est un sujet grave, il mérite qu’on s’y attarde. Avant d'approfondir un peu ce thème sous la forme d’un grand dossier sur le site (à venir très prochainement), on a décidé de te demander quel était ton ressenti. Ton avis nous intéresse.

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