Pas facile d’avoir une vision globale des acteurs et initiatives qui participent à la pratique et au développement de modes de vie « libres et durables » sur un territoire. Dispersion des informations, multiplications des service de communication, infobésité… et au final manque de visibilité. Un constat fait à la fois par les acteurs eux-mêmes (collectivités, associations, entreprises…) et par des citoyens qui se voudraient « consom-acteurs ».
Il y a plusieurs façons de contribuer au projet de cartographie participative OpenStreetMap. Du professionnel-amateur utilisant un éditeur installé en local sur sa machine pour travailler sur des fichiers du cadastre au « touriste-veilleur de quartier », utilisant un simple navigateur internet et l’éditeur en ligne Potlatch, directement depuis le site OpenStreetMap.org.
Le mercredi 28 mars, à l’occasion de la semaine du logiciel libre à St-Chamond, Agnès (service Jeunesse – BIJ St-Chamond) et Thomas (MJC), accompagnés d’Éric et Claude (association Alolise), ont initié un groupe de six membres du Conseil Municipal des Jeunes de la ville et un adulte adhérent de la MJC à la cartographie libre avec OpenStreetMap.
Le lundi 23 et le jeudi 26 juillet, deux groupes d’enfants encadrés par des animateurs /trices du Comité d’animation ont parcouru les chemins du Parc tablettes tactiles en main pour relever des traces GPS et prendre des photos et des notes permettant de saisir les informations dans la base.
Lors des Rencontres Régionales de l’Internet Accompagné organisées par la CORAIA à Bourg en Bresse, plusieurs médiateurs numériques/animateurs multimédias de la région m’ont demandé quels outils et applications j’utilisais en cartopartie pour contribuer à la base de données géographiques d’OpenStreetMap (OSM). Voici donc différents moyens que j’utilise pour récolter des données sur le terrain. Mes trucs et astuces à moi, issus de ma pratique personnelle, l’idée étant de travailler avec ce que j’ai à disposition, avec ou sans fonction GPS, et sans connexion internet.
Une semaine ouverte pour découvrir en pratique comment ces nouvelles formes d’organisation collaboratives permettent plus d’efficacité, de cohérence, de synergie entre les acteurs et les projets, sur une thématique et/ou un territoire. Et comment elles favorisent les contacts, le partage d’expérience, la mutualisation des ressources, l’intelligence collective.
Posté le 26 janvier 2012.
Une semaine portes ouvertes pour voir, pour comprendre, pour pratiquer le coworking et les tiers-lieux. Une semaine de pratique, de rencontres et de partage d’expérience entre les porteurs et les acteurs de différents espaces et lieux dont les usages se ressemblent et pourtant portent chacun la marque d’une culture locale personnelle.
L’association Zoomacom organisera une semaine portes-ouvertes, du lundi 20 au samedi 25 février, au Comptoir Numérique à St-Étienne, pour permettre à tous de continuer à découvrir cette nouvelle façon de travailler qu’est le coworking et d’une manière plus globale, comment devenir contributeur d’un «Tiers Lieu» sur son territoire. Et mieux : apprendre à en créer un !
Posté par Eddie Javelle le 26 janvier 2012
Zoomacom organisera une OpenWeek en février au Comptoir Numérique. Une semaine portes ouvertes, du lundi 20 au samedi 25 février, pour permettre à tous de continuer de découvrir cette nouvelle façon de travailler qu’est le coworking et d’une manière plus globale, comment devenir contributeur d’un « Tiers Lieu » en bas de chez soi. Et mieux : apprendre à en créer un !