502 items | 38 visits
MARCHES - MODELES D’AFFAIRES -E-COMMERCE - WEB MARKETING - FILIERES TIC -EMPLOI - SERIOUS GAMES
Updated on Jan 19, 15
Created on Jan 23, 09
Category: Business & Finance
URL:
En 2008, les jeux sur téléphones ont généré quelque 5,4 milliards de dollars, soit 20% de plus qu'en 2007. Les smartphones, le développement de la 3G et la percée de l'iPhone en sont les principales raisons.
La combinaison de l'iPhone et de la simplicité de l'App Store ont fortement stimulé l'industrie du jeu. Le terminal d'Apple s'adapte graphiquement très bien aux jeux, tout en offrant un modèle économique, qui privilégie une part de revenus non négligeable pour les développeurs ». Il n'est ainsi pas étonnant que d'autres s'en inspirent
Non seulement les possesseurs d'iPhone sont les utilisateurs de smartphones qui téléchargent le plus d'applications, mais il se trouve, aux dires de l'étude, que la plate-forme d'Apple est celle qui draine le plus de développeurs à fort potentiel chez les grands éditeurs de jeux, comme Electronic Arts et Sega, par exemple.
PDF canada Cyberéconomie
Si l’on veut compter sur internet comme relais de croissance dans la décennie à venir, ce n’est pas l’eCommerce qui va nous y aider. Inutile de s’alarmer, il reste bon nombre de secteurs qui promettent de créer énormément de valeur dans les années qui viennent si elles savent tirer parti du numérique.
La croissance, sur internet, est liée - pour l’essentiel - à deux choses : les technologies et leurs usages. C’est à la première catégorie que je m’intéresse aujourd’hui en passant en revue des secteurs émergeants ou bien installés qui vont, dans les années à venir, se prendre internet et ses technologies dans la gueule (ou qui sont en plein dedans), dans un pays dont les dirigeants n’ont toujours pas compris que le déterminisme des technologies était infiniment plus puissant qu’une quelconque législation.
The big shift since the crisis has been the rise of “freemium” (free+premium) models, where products and services are offered in free basic and paid premium versions. Think Flickr and Flicker Pro (more storage), virtually all online games and even your own site (some free and some paid content).
Finally, your scorn blinds you to the fact that this crazy idea of giving away content for free and supporting it by advertising is nearly a hundred years old. It is the basis of the standard radio and television broadcast model (“free to air” content) and countless other companies, from the free daily and weekly newspapers to the vast majority of media websites, including all of our own at Conde Nast. It works great—The Economist should try it!
Revient sur Chris Anderson Freeconomics et sur Carver mead
retur sur Freeconomics de Chris Anderson
Le passage aux moyens de communications dématérialisés représente des économies allant de 50 à 80 % sur les dépenses associées, annonce le Yankee Group dans une étude. Le rapport porte sur les petites et moyennes entreprises (PME) dont les coûts de ces services représentent une partie importante de leur budget. En abandonnant les infrastructures informatiques de messagerie, de téléphonie et une partie des services logiciels (grâce aux SaaS : Software as a Service), les PME économisent sur les produits et sur la maintenance qui va avec. Pour Jeffrey Breen, directeur technique et Steve Hilton, vice président de Yankee Group, cette solution appliquée à leur propre entreprise représente plus de cent cinquante mille dollars d'économies.
lat World Knowledge est, à coup sûr, le premier d’une longue série de startups dans le secteur de l’édition à chercher un modèle économique dans un marché qui ne pourra plus reposer longtemps sur le concept de rareté.
Aux Etats Unis, il y a fort à parier que de nombreuses écoles vont rapidement adopter des éditeurs comme Flat World afin de faire baisser les coûts de l’éducation particulièrement élevés. En France, on peut parier que les lobbys fasse pression pour que le gouvernement protège le secteur et que le ministère de l’éducation bloque toute initiative de ce type. Malgré tout, il y fort à parier que des startups semblables voient le jour et soient elles aussi lourdement financées en France, tant la gratuité, quel que soit le modèle économique qui le supporte, est une évidence pour les livres scolaires et le marché de l’édition scolaire francophone phénoménal (France, Benelux, Afrique du Nord, Afrique Francophone, etc).
Le distributeur propose d'acheter moins cher des produits électroniques et de divertissement contre l'essai gratuit de plates-formes de téléchargement.
Contrepartie de la visibilité : le versement d'une participation financière. Selon François Ziserman, auteur d'un blog d'e-commerce éponyme, l'initiative correspond à une véritable tendance. "Les internautes cherchent à débusquer les meilleures offres sur Internet. Ce qui résulte d'une guerre des prix entre les distributeurs", explique-t-il. Et d'ajouter : "Il suffit parfois d'un euro de différence pour que la fréquentation d'un site explose".
6 grands modes de financement de la gratuité
Après avoir dressé ce constat encore confus et insuffisamment documenté - qui reste tout de même plus dans le registre de l’intuition que de la démonstration scientifique -, Anderson dresse alors une plus intéressante taxinomie de la gratuité [voire aussi celle que propose les chercheurs du laboratoire Sense d’Orange], afin de dépasser le seul modèle publicitaire :
* le modèle fremium : une version gratuite grand public couplée à une version payante, plus chère et plus évoluée pour un marché de niche, comme Flickr et les 25 dollars annuels de la version Pro. C’est le modèle de l’échantillon gratuit, si ce n’est que dans le numérique, une personne qui paye permet à des milliers d’autres d’avoir une version gratuite.
* le modèle publicitaire.
* les “subventions croisées”, c’est-à-dire l’offre gratuite d’un produit pour vous inciter à en acheter un autre, comme quand on vous donne un téléphone en échange d’un abonnement.
* le coût marginal nul : c’est-à-dire quand il est plus simple d’offrir que de faire payer, comme le constate sans doute le monde de la musique (en espérant bien sûr faire payer autre chose).
* l’échange de travail : vous accédez gratuitement à un service en échange d’un acte d’utilisation qui crée de la valeur (en améliorant le service ou en créant des informations qui peuvent être utiles ailleurs : c’est le principe des votes sur Digg, de Recaptcha…)
* l’économie du don : l’argent n’est pas la seule motivation. De Freecycle à Wikipédia, l’altruisme, l’économie du partage, montrent qu’il y a peut-être d’autres façons de créer de la valeur.
Qui reconnectera nos représentants et même les industries culturelles à autre chose qu’aux intérêts économiques d’un secteur en plein bouleversement. Assurément, pour qu’elles comprennent le bouleversement qu’elles sont en train de vivre, il leur faudra comprendre le renversement de valeur qui se déroule sous leurs yeux. Pour créer de nouvelles valeurs, il faudra qu’elles cessent de défendre les leurs pour en embrasser de nouvelles, plus en phase avec ceux qui les consomment et qui souhaitent les consommer autrement. Si l’industrie de l’automobile se casse la gueule c’est aussi en grande partie parce qu’elle n’a pas su répondre à ses consommateurs (l’âge moyen d’achat d’une première voiture est de 55 ans !). En sera-t-il de même avec les industries culturelles ? En tout cas, c’est ce qu’elles ne cessent de nous répéter.
Le libre débouche sur une plate-forme collaborative et rémunératrice
Faascape propose un modèle économique qui assure une rémunération aux codeurs de logiciels libres tout en réduisant les investissements en développements des clients.
Note d’Alain: Hadopi pas Hadopi, streaming ou telechargement, le systeme ne fonctionne pas; et les labels de musique devront le comprendre un jour ou l’autre. Rien n’arrêtera la marche vers la gratuité ou vers un modèle économique différent. Situation effectivement paradoxale, la demande est omniprésente et le succès est au rendez-vous mais l’avenir est plutôt gris pour ces startups. Si les principaux acteurs de sites français de musique en streaming lisent ce post, je serais heureux de lire leurs réactions sur cette analyse de Michael. Du moins sans prendre le risque de froisser leurs rapports avec les labels de musique….
Un bon article de rue 89 évoque une tendance : des jeux accessibles gratuitement financés sur les micro transactions liées aux fonctionnalités poussées du jeu
La sensation de tenir un objet en magasin déterminerait l'achat. En ligne, une solution pour recréer ce sentiment serait de proposer aux internautes de tester gratuitement les produits avant l'achat. Un constat sujet à polémique.
502 items | 38 visits
MARCHES - MODELES D’AFFAIRES -E-COMMERCE - WEB MARKETING - FILIERES TIC -EMPLOI - SERIOUS GAMES
Updated on Jan 19, 15
Created on Jan 23, 09
Category: Business & Finance
URL: