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Shortman 's List: Environnement d'apprentissage personnel - EAP

  • Oct 13, 12

    définition méthode SMART de fixations d'objectifs:
    Spécifique
    Mesurable
    Atteignable
    Réaliste
    Timely (échéance fixée)

  • Définitions

      • le wiki de Edutech, qui semble avoir la même source et qui définit les EPA comme «des systèmes qui aident les apprenants à prendre le contrôle et à gérer leur propre apprentissage en leur fournissant un support pour :
         
           
        • définir leurs propres objectifs,
        •  
        • gérer leur apprentissage que ce soit le contenu et le processus,
        •  
        • communiquer avec les autres dans un processus d’apprentissage
        •  
        • atteindre ses buts »
    • Qu’est-ce qu’un EAP?

       

      Dans sa forme la plus simple, l’EAP se présente comme un système qui encourage l’étudiante ou l’étudiant à prendre le contrôle et à gérer son propre apprentissage. Ce système va donc l’appuyer dans la définition d’objectifs d’apprentissage par la gestion des contenus et des processus la soutenant, ainsi que les communications avec autrui tout au long de sa démarche (définition Wikipedia).

    • L’étudiant se définit des objectifs en lien avec ses intérêts, l’état des connaissances dans son champ d’expertise, les exigences de son association professionnelle, les attentes de son milieu de travail, etc., puis choisit l’environnement technologique qui pourra mieux le servir dans ses apprentissages :

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    • Un environnement personnale d'apprentissage peut se définir sur deux plans. Sur le plan conceptuel il s'agit d'un système qui favorise le contrôle de son apprentissage à plusieurs égards: Définition des buts d'apprentissage, gestion des processus d'apprentissage, gestion des contenus et des outils, communications avec d'autres, etc. Sur le plan technique il s'agit (idéalement) d'un service qui permet à un individu d'intégrer différent services qu'il peut utiliser et combiner selon ses besoins. Cet espace doit aussi permettre l'échange avec d'autres sous plusieurs formes.
      • Une première définition est celle de Mark Van Harmelen (2006) pour qui : les environnements personnels d’apprentissage»sont des systèmes qui aident les apprenants à prendre le contrôle et à gérer leur propre apprentissage en leur fournissant un support pour : 
        • définir leurs propres objectifs, 
        • gérer leur apprentissage que ce soit le contenu et le processus, 
        • communiquer avec les autres dans un processus d’apprentissage 
        • atteindre ses buts ». 
         Et il ajoute «un environnement d'apprentissage peut donc être composé d'un ou plusieurs sous systèmes. Comme si c’était une application de bureau, ou composé d’un ou plusieurs services basés sur le WEB » [traduction libre de l'anglais].
  • Nov 09, 12

    Environnement c'est quoi : physique et numérique
    Apprendre c'est quoi:
    -JM Gilliot
    -Taxonomie de Bloom des niveaux d'acquisitions des connaissances

    • Qu’est-ce que j’apprends vraiment ? Qu’est-ce qui me reste ? Qu’est-ce qui s’envole ?Autrement dit, quelle est la qualité de cet apprentissage ?
    • Suis-je efficace dans mon apprentissage ? Est-ce que je ne passe pas trop de temps en recherche par rapport à l’apprentissage effectif ? Toutes les données que je consulte, que je stocke, me sont-elles vraiment utiles ? Autrement dit, suis-je vraiment concentrée sur mes objectifs d’apprentissage ?

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    • S’organiser grâce aux environnements numériques
    • De manière intéressante trois écoles de pensée convergentes mettent en avant l’idée que la constitution d’un tel espace est d’abord personnelle mais s’inscrit dans un contexte social :

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  • Exemples

  • Nov 09, 12

    l'EAP de Jacques Cool :
    -sa salle de travail (collaboratif)
    -son classeur
    ses journaux/sa veille
    -son portfolio (blog,...)

    • La veille est un processus codifié qui part d’un besoin, produit un questionnement, et qui collecte de l’information, la traite et en tire une synthèse à diffuser auprès du commanditaire. La veille reste un processus opérationnel qui vise à la production de valeur dans une structure. Une bonne veille n’est d’ailleurs pas une réponse à un besoin actuel mais l’anticipation d’un besoin potentiel.
    • Cette construction de connaissances, elle se fait en mode pratique et en mode projet. Cette distinction renvoie, il me semble à la distinction que l’on fait entre le mode push et le mode pull. La pratique, c’est ce que l’on fait tous les jours. C’est les bouts d’information que l’on récolte au fil de l’eau et qui s’agrègent lentement à notre système mental. Le projet c’est l’émergence du besoin qu’il faut traiter. Le projet a un début et un terme qu’il convient de respecter. Quand je monte une formation, c’est pour une date. Chacun de ces deux modes demandent des méthodologies et des outils, en ce qui me concerne, qui sont différents.

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  • Nov 09, 12

    EAP: réguler outils techniques et plan de formation

  • Réfléxions utiles des participants

    • Pour rendre la situation plus confortable, j’ai décidé qu’il fallait prendre le temps de réfléchir avec soin à mes objectifs d’apprentissage. Et les formuler, en ne cédant pas à la tentation du flou artistique. Je veux dire par là que des objectifs trop généraux, même s’ils sont enthousiasmants, ne font que remettre à plus tard les tergiversations. Enoncer des questions précises auxquelles on espère que la veille apportera des réponses, c’est faire un choix en amont pour s’épargner trop de délibérations particulières. Voici un exemple concret lié à mes objectifs d’apprentissages hors du cadre d’ITyPA : « Comment garde-t-on trace de ma navigation sur internet ? Comment et à quelles fins sont utilisées ces traces ? Qui en bénéficie ? Quels son mes droits ? »
    • Ensuite, j’ai essayé de définir différents moments. Pour chacun, j’ai clairement en tête ce que je fais, et surtout ce que je ne fais pas. Un premier temps consiste à passer en revue très superficiellement les ressources captées par mon dispositif de veille. Lire la dernière newsletter ITyPA, survoler les titres des nouveaux billets dans Google Reader… Etre attentif pendant ce temps aux élans de ma curiosité, en me gardant bien d’y céder. Lire, ce sera pour plus tard. A partir de cette vision globale du contenu, je peux effectuer un choix. L’objet de mon attention ne me sera pas soumis par le hasard. Ma raison a eu son mot à dire, ma conscience est satisfaite. Je peux alors passer, l’esprit léger, au moment de la lecture. Puis à celui de l’annotation et de l’archivage.

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    • L’utilisation des cartes mentales, cartes heuristiques, Mind Meister, dans mon cas, viennent aider l’organisation de ma pensée et établir les liens hiérarchiques entres les concepts présentés à des membres de ma communauté. C’est un outil qui me permet de placer beaucoup d’information dans un très petit espace et d’avoir à la fois une vision détaillée et une vision d’ensemble de mon sujet. Ces cartes mentales sont partageables avec mes contacts. Freeplane et SimpleMind sont d’autres outils.
    • Mes interactions

       

      Pour l’amélioration de mes connaisssances, j’ai choisi des outils qui pouvaient améliorer ma pratique de consultant en gestion et développement des organisations. Tout d’abord sur le plan professionnel, je ne suis bâti un réseau sur LinkedIn. J’y ai trouvé des individus et groupes qui me permettent d’interagir sur le plan de mes connaissances et de mes compétences professionnelles en gestion. J’ai choisi ces groupes, parfois en fonction des discussions et des échanges entres membres de cette communauté et en d’autres occasions, en fonction de leur proximité géographique. Conseillers et Consultants, Entreprise Apprenante, Association des ingénieurs pédagogiques et experts eLearning et aussi Management et RH sont des exemples du premier volet. Les groupes Gaspésie Îles-de-la-Madeleine, Focus 20 et BSL 2.0 relèvent de leur localisation géographique. La qualité des discussions m’aide à améliorer mes connaissances professionnelles. Cette participation à LinkedIn m’a aussi permis d’agrandir mon réseau professionnel parce qu’il a facilité des rencontres personnelles de réseautage qui ont été fructueuses.

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    • J’éprouve maintenant le besoin :

       

        - de traiter cette masse d’information en l’organisant, en la filtrant, en la synthétisant voire en présentant l’état-d’une-question-pour-moi dans un article un peu construit. Pour illustrer ce que j’imagine développer, voici un exemple de redocumentarisation que j’ai commis dans le cadre d’une formation au blended learning qui pourrait illustrer une formalisation possible. J'ai alors pris conscience que de type d’écriture, pourtant basique, suppose une vraie appropriation des informations, un regard critique et une prise de position personnelle qui dépassent la simple agrégation d‘information. Elle demande une vraie posture d’apprentissage.

    • Ma participation à quelques communautés virtuelles d’apprentissage (privées) m’a convaincu de la forte plus-value des contributions croisées à condition de respecter divers principes d’animation.

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    • C’est à la fin d’un parcours d’apprentissage que l’apprenant est en capacité d’exprimer véritablement quels sont ses besoins de formations, car l’identification des besoins « suppose un processus préalable de formation ».
    • Comment amorcer une phase de conscientisation pour déclencher la transformation des besoins non ressentis en besoins ressentis ?
    • Suis un peu circonspect sur cette question de définir soi même ses objectifs pédagogiques, parce que « même » les pédagogies actives ne peuvent se passer d’objectifs de formation, d’objectifs pédagogiques et donc de contextualisation, cette dérnière étant la condition sine qua non à l’adhésion de l’apprenant à la stratégie d’apprentissage.
    • Tout se précipite dans ma tête depuis que j’ai participé au Forum des Artisans du changement au mois d’août dernier, lors d’une fin de semaine qui se voulait un outil de transformation individuel et collectif.
    • Pour moi, le changement se concrétise dans ma relation à l’apprentissage. Plutôt que de recourir aux formes traditionnelles d’éducation, par le biais de l’école ou de l’autodidactie, j’expérimente ce qu’on pourrait appeler la coformation, la coéducation ou le coapprentissage, et ce, sous deux formes : un cercle d’apprentissage et des cMOOC ou MOOC basés sur le réseautage.

       

      Dans le cas du cercle d’apprentissage, la plus importante partie de l’apprentissage se fait en présence des autres membres du cercle, qui se forment les uns les autres en expérimentant différentes techniques d’apprentissage, de collaboration, de cocréation, d’intelligence collective.

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