Claude Frenette's List: La classe inversée

• L’enseignant-ressource ou un pas de plus vers une pédagogie active.
• Il faut donc accepter notre nouveau rôle qui est celui d’éduquer nos élèves à rechercher et consulter les bonnes ressources grâce à un esprit critique. À cet égard, une éthique de recherche devient indispensable puisqu’il faut apprendre à vérifier les sources et à les citer adéquatement
• Bref, exit le Sage on stage et vive le Guide on the side pour reprendre l’expression américaine consacrée de la flipped classroom. Dans la classe inversée, nous sommes dans l’écoute et dans l’agir plutôt que dans la valorisation de l’exposé oral théorique. Nous enseignons aux élèves à apprendre à apprendre. C’est l’enseignement à la métacognition pure et simple
• Travailler en réseau et non en silo.
• nous sommes actuellement à l’air du partage et cela n’est pas applicable seulement entre collègues de la même institution et du même niveau. La communauté éducative doit se mobiliser davantage afin d’établir des réseaux de partage d’idées et de stratégies
• le programme de formation de l’École québécoise valorise clairement la compétence « apprendre à travailler en équipe »
• La pédagogie inversée se situe dans le courant de l’enseignement coopératif où les élèves sont appelés à échanger et discuter ensemble afin de construire leur savoir et le vérifier auprès de leurs collègues.
• la partie magistrale maintenant largement évacuée du temps de classe, cela libère du temps pour une pédagogie plus personnalisée donc, mieux différenciée
• Revoir l’organisation des ressources informatiques et matérielles
• S’il est toujours possible que l’aspect pédagogique soit abordé séparément de celui de l’informatique, l’inverse n’est pas possible. Du moins, pas dans une école inscrite dans la contemporanéité du 21e siècle.
• Or, pour être créatif, on doit travaille, dans la mesure du possible, avec les outils que l’on préfère, que l’on privilégie. L’imposition de certains outils ou services informatiques dans l’exercice des fonctions est navrante. Le fait d’imposer des blocages divers à l’utilisation d’un site web ou autre, devient, à la longue, démotivant et… castrant ! Bloquer Hotmail, Facebook, YouTube, Twitter, etc., est souvent plus compliqué pour les enseignants technophiles que pour les élèves eux-mêmes !
• Il est temps d’enseigner aux élèves comment utiliser un appareil personnel et le transformer en outil professionnel lorsque besoin il y a.
• La pédagogie traditionnelle est une sorte de « melting pot » qui reprend le modèle « one size fits all » alors qu’en réalité, les années 2000 sont celles de la pédagogie différenciée et des intelligences multiples.
• La pédagogie inversée n’est pas seulement l’utilisation de la vidéo dans un contexte pédagogique. C’est plutôt le réaménagement du temps en classe et des stratégies qui y sont déployées qui est la pierre angulaire de cette stratégie
• L’important, au risque de répéter, c’est de libérer du temps en classe afin que l’enseignant intervienne de façon active auprès d’élèves actifs.
• Peu importe les arguments des détracteurs de la stratégie pédagogique dont il est question, il n’en demeure pas moins que la classe inversée se veut une rupture avec le modèle traditionnel. Et c’est exactement ce que le monde de l’éducation a besoin actuellement : du dynamisme, de l’ouverture, de la collaboration et surtout, de l’innovation !

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• Flip your instruction so that students watch and listen to your lectures… for homework, and then use your precious class-time for what previously, often, was done in homework: tackling difficult problems, working in groups, researching, collaborating, crafting and creating. Classrooms become laboratories or studios, and yet content delivery is preserved.

• the benefits of video in the classroom:

   

   

   
  • Establishes dialogue and idea exchange between students, educators, and subject matter experts regardless of locations.
   
  • Lectures become homework and class time is used for collaborative student work, experiential exercises, debate, and lab work.
   
  • Extends access to scarce resources, such as specialized teachers and courses, to more students, allowing them to learn from the best sources and maintain access to challenging curriculum.
   
  • Enables students to access courses at higher-level institutions, allowing them to progress at their own pace.
   
  • Prepares students for a future as global citizens. Allows them to meet students and teachers from around the world to experience their culture, language, ideas, and shared experiences.
   
  • Allows students with multiple learning styles and abilities to learn at their own pace and through traditional models.
• Those who advocate for the flipped classroom state that class time can then be used for discourse and for providing hands-on, authentic learning experiences.
• Now educators have time for engagement and interaction with the learners (#EdCampChicago presentation).
• the use of video lectures needs to fall within a larger framework of learning activities
• The cycle often begins with an experiential exercise.
• Students become interested in the topic because of the experience. 
• People learn experientially.  It is the teacher’s responsibility to structure and organize a series of experiences which positively influence each individual’s potential future experiences (http://wilderdom.com/experiential/elc/ExperientialLearningCycle.htm).
• Learners are exposed to and learn concepts touched upon during Experiential Engagement.  They explore what the experts have to say about the topic.  Information is presented via video lecture, content-rich websites and simulations like PHET and/or online text/readings.
• McCarthy reinforces that concepts should be presented in accessible form.
• learners can control when and how the media is used.  This is the major value of flipping the classroom
• In a user-generated learning environment, students could be asked to locate the videos, podcasts, and websites that support the content-focus of the lesson.  These media can then be shared with other students.
• Part of this phase includes an online chat for asking and addressing questions about the content presented via the videos, podcasts, websites.
• These materials are used by the learners in their own setting on their own time. 
• It is asynchronous learning and as such permits the learner to differentiate learning for him/herself. 
• Learners can articulate and construct their understanding of the content or topic being covered through written blogs or verbal-based audio or video recordings. 
• learners get to demonstrate what they learned and apply the material in a way that makes sense to them.
• This goes beyond reflection and personal understanding in that learners have to create something that is individualized and extends beyond the lesson with applicability to the learners’ everyday lives. 
• they become the storytellers of their learning
• This phase of the cycle is best when it occurs in a  a face-to-face, group setting within the classroom.
• (1) the educator can guide the learner to the types of projects and tools best suited for him/her, and (2) an audience of peers and mentors increases motivation and provides opportunities for feedback.

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